Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Lieu parsemé de mort, de squelette en tout genre. De corps en putréfaction. Paysage sordide et décomposé. Lieu de mirage et de temps opposé. Peut ose s'aventuré ici. Son frère l'attendait a l'orée de la forêt, lui avait préféré chassez tranquillement.
Faust lui préféré ne pas perdre son temps et s'entrainé du mieux qu'il le pouvait. Après la raclé niveau course qu'il c'était pris contre son frère après leurs entraînements, Faust eut très envie de s'entrainé un peu au niveau de son agilité et de son endurance. Bien que chose peu aisé pour un loup de son envergure. Il entra doucement dans la forêt, foulant le patte a petite foulé. Pas la peine de courir vite. Le tout et d'économisé ses forces. Sur plusieurs kilomètre. Pouvoir se repéré et se calmer. Il enjambait les racines gigantesques des arbres radioactifs. Il marchait au dessus. Enfin trotinait. Finalement en observant le paysage, Faust se sentit plus léger, peut être qu'en pensant a autre chose la course était plus simple. Il leva la nuque vers les arbres, et aperçut un homme, ou du moins ce qui restait de lui. Squelette pendu. Parachute de couleur jaune et orange. Parsemant la forêt d'un peu de mélodie. Distrait, Faust trébucha sur un racine. Il se reprit et se rencontra sur la course. A petite foulée. Son souffle commençait à être plus rapide. Ca faisait bien 2 kilomètre maintenant. Et c'était devenu 2 kilomètre de souffrance. Agonisant, Faust relevait la tête. Essayant de resté digne a ses yeux. A ses propres yeux. Après 3 kilomètre de course, celui ci préféra rentré rejoindre son frère, en marchant lourdement. Un petit entrainement de santé. Son frère avait beau le traité de "gros tas", Faust faisait de son mieux pour l'égalé en tout point.
Finalement les deux loups n'avaient pas vraiment changer de territoire, pour des raisons évidente, le blizzard avait tout recouvert, resté près de la forêt a la cime des arbres semblaient être plus intéressant pour eu et moins dangereux.
Son frère chassait, encore et encore. Pendant ce temps la Faust décida de remettre a jour son entrainement de la dernière fois. En se faufilant habilement mais lourdement dans la forêt tortueuse, il se rappela la souffrance le jour d'après son entrainement en endurance. Il avait tellement souffert, que ses tendons criaient repos. Aujourd'hui pas de surmenage. Après tout, il avait le droit de faire des choses qui l'amuse. Et son truc a lui c'était mordre, frapper, pousser, repousser. Malmené. Alors aujourd'hui entrainement de force intensif. Il trouva un arbre. Pas trop gros, pas trop grand. Mais dans celui ci était accroché un homme. Ou ce qui restait de lui. Des os picoré par les oiseaux, suspendu entre les fils amer du parachute rouge et bleu. Tintant a nouveau la forêt d'une incroyable mélodie. Il savait exactement quoi faire et quand le faire. Son but, faire assez tremblé l'arbre pour que le parachute tombe. Ou du moins les os encore accroché fébrilement a un semblant d'humanité. Il pris pour cible cette arbre. Ses yeux froid avide de franchise l'observa pendant un moment. Avant de ce jeter violemment dessus avec ardeur. De son épaule droite il le frappa de plein fouet. L'écorce dure de l'arbre lui caressa le muscle. Se relança rapidement avec ses pattes arrières, il frappa. Encore et encore. Violemment et avec ardeur. Il changea agilement d'épaule car celle ci lui faisait souffrir. Son souffle s'accéléra. L'écorce commençait a s'arraché sous les coups martelant du mastodonte. Un ours aurait fait la même trace sur cette écorce. Des râles violent d'ardeurs sortirent de sa gueule béante et de ses yeux exorbités. Des feuilles de l'arbre tombèrent, quand un bruit sourd retentit. Il s'arréta, soufflant bruyamment. Un os venait de tomber sur un caillou au sol, émettant ce bruit strident et vide. Soupirant et agonisant, ce fixé l'objectif du parachute avait été une erreur. Un os suffisait après tout. Quand il voulu marché pour récupéré son trophé. Il gémit en pliant la patte. Ses épaules le faisaient souffrir. Son frère sera heureux de cette os. Même si lui, ce qu'il préfère c'est le sang.
Son frère n'en n'eut finalement strictement rien a ciré. Celui ci était toujours en chasse. Parfois la solitude de Faust attaquait son mental profond de loup aigris par le temps. Son frère avait besoin de ce moment privilégié avec lui même de chasse personnel.
Faust décida donc de retourné s’entraîner. Cette fois, hors de question de retenté cette expérience de martèlement d'épaule. Les siennes le faisait encore souffrir. Faust n'était pas un loup si bête qu'il en avait l'air, il était même parfois futé. Et il trouverais de quoi ce distraire en attendant la fin de chasse de son frère. Il se replongea dans cette forêt sombre étendue de mort et de poussière. Mais cette fois il ne pris pas le chemin habituel qu'il avait pris jusqu'alors. Il se retrouva dans un endroit qui semblait avoir été sauvé par toute sorte de bombe ou de combat. Il y avait de gigantesques racines qui formaient de magnifique arc de cercle au dessus du sol. Sorte de geant de la nature. Dans sa tête se métamorphosa presque instantanément le magnifique parcourt d'agilité qui s'offrait a lui. Passer en dessous, au dessus des racines, sous les arbres creux.... Tant de possibilité s'offrait a lui. En plus ses pattes avant, donc ses épaules ne serait pas particulièrement sollicité, car la vitesse viens du train arrière. Il n'aura qu'a dirigé avec ses pattes avant, et répartir son poids correctement. Il bondit donc et s'élança. Passant en dessus la première racine. Son imposante carrure, rendit la traversé impossible sans rampé. Pour la première il rampa donc, la deuxième était trop courte au sol pour passer en dessous, seul un vulgaire goupil s'y serait engouffré, il bondit au dessus avec agilité, même si il dut s'appuyer dessus avec ses pattes, ne pouvant pas la sauté d'un bond. Il dévia rapidement sur la droite une autre racine. Il commençait a trouver cela amusant finalement. Il était de coté a cette autre racine. Il se laissa habilement glissé sur le sol, sur son flanc gauche pour passé en dessous avec brio. Il continua de courir, soif de puissance et de vitesse, il se sentit poussé des ailes, quand il fonça droit sur cette arbre, il couru pendant une demis seconde a la verticale dessus, pour se projeté ensuite sur une grosse pierre. Il releva la tête, un sourire au babine. Observant le parcourt de haut. Il décida de le refaire, en essayant d'être le plus rapide possible. Faust était sur la bonne voie.
Les loups c'étaient déplacé, mais restant dans les terres du nord. Sans trop s'éloigné de la forêt au pendu, finalement ils n'avaient fait que de la longé. Son frère était partit chassé, encore. Lui était mince et avait besoin de manger souvent. Alors que Faust vivait souvent sur ses réserves. Mais aujourd'hui il fallait chassé. Il en avait besoin et cela profitera a son entrainement.
A cause du blizzard les deux frères évitaient de ce déplacé sans raison valable. Pour l'instant, mieux valait-il économisé leurs forces, car la chasse n'était pas très bonne. Faust se sentait de meilleur humeur aujourd'hui, prêt a faire plus d'effort que d'habitude. Courir, bondir, ramper. Rien qu'a cette idée, Faust en avait déja mal au coussinets. Mais il était prêt a enduré les pires souffrances pour devenir un loup propre sur lui et agile. Il entreprit donc comme a son habitude, de se glissé lentement dans la forêt aux pendus. Croisant sur son chemin habituel, maintenant marqué par son effluve, de nombreux os et autre mort pendu tel des attrapes cauchemars. Pour certain, cette forêt devait vraiment en être un, de cauchemar. Mais de voir ces corps pendouillant ne gênait point Faust. La nature a toujours repris ses droits. Et c'était un fait. Faust se mit a trottiné doucement. Environ pendant deux kilomètres. Chauffant ses membres endoloris par le froid. Tout bon athlète a besoin d'un échauffement. Il sautait de tant à autre, dans un excès de maturité au dessus de racines tortueuses. Après avoir couru environ trois kilomètre. Il s'arréta, l'oeil tombant et le regard vide de fatigue. Pour lui cela lui semblait être un effort inconcevable. Mais il se sentait moins fatigué que la dernière fois. Et pus observé ses progrès avec enthousiasme. Après ce petit entrainement. Pourquoi ne pas tenté de chassé quelque chose. Histoire de courir pour s'entrainé un peu plus. Et de trouver quelque chose a ce mettre sous la dent.
Fiche de personnage force: (100/100) agilité: (100/100) endurance: (100/100)
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Messages :
15874
Points :
994
Âge Personnage :
X ans
Rang :
Rang
Niveau Rang :
Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures :
Pas de Blessure
Détails maladie :
Pas de Symptôme
Bonus Force :
+0
Bonus Agilité :
+0
Bonus Endurance :
+0
Bonus score de chasse :
Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien :
Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé :
Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres :
Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
Ven 9 Jan - 14:36
Le membre 'Faust' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé de chasse' : 10
Invité
Invité
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Ven 9 Jan - 14:49
Beautiful mind
Faust feat. xx
Faust s'arréta net. Au aguets. Un proie. Ses oreilles frémirent. Un profond sentiment d’euphorie le transperçât. Une proie, ramené a son frère. Il vit la fierté sur son visage, le regard ébahit de son frère qui le croyait incapable de faire quoi que ce soit a part tuer, broyé.
Il ne bougeait pas. Fougère parmi les fougère. Statue de marbre extraordinaire. Un lapin passa a vive allure devant lui. GO. Faust s'élança. Avec son entrainement de l'autre jour, il réussissait habilement a passé outre les grosses racines, outre la végétation abondante. Bondissant comme le lièvre. Ne le quittant pas des yeux. Il gagnait du terrain sur lui. Son frère aurait été bien utile pour rabbatre cette proie. Ses muscles étaient bandé et dure comme de la glace. Sa gueule entrouverte, prête a attrapé la bestiole bondissante. Lui rappelant son frère. Elle était a un saut de lui. Un saut. Cette proie. Il n'en pouvait plus de courir. Il la voulait. « MANGERRRR!! » Il bondit. La gueule ouverte. Il trébucha sur une racine et tomba. Sa machoire claqua. Sa gueule s'écrasa sur le sol. Rien entre les dents. Il aperçut sa proie disparaître entre les fougères. Il avait été trop imprécis et imprudent. Trop de rage et de hargne en lui. Il avait laissé sa faim prendre le dessus sur sa précision. Il se releva et frappa dans une racine avec sa patte droite, la faisant volé en éclat. « MER#%* ! FAIS CHI#£* !! » Et il repartis en trainant les pattes. Il ne racontera pas cela a son frère. Hors de question.