Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Le jour c'est à peine lever, les rayons du soleil arrive à passer légèrement devant la tanière du loup. Les nuances de couleurs, du ciel rappelle que se monde est fait d'horreur. Les oiseaux qui chantaient avant ne chantent plus depuis longtemps. Les nuages ne sont plus d'un blanc pure, leurs couleur varie. Les hommes ? Se sont belle et bien des monstres. Astral, comme beaucoup d'autre loups ne les aimes pas.
Le vent n'est plus doux, il est drûte. Les âmes perdu ne retrouvent jamais leur corps. Le feu, la glace, le désert et le sang, voilà ce que tu vois toi Astral. Petit loup laissé pour mort il n'y as pas très longtemps. Tu as eu de la chance de tomber sur une meute de loup. Tu as eu de la chance de vivre encore, peu être que....sa peu être un signe, un signe qui viens du "HAUT". Le destin? Non je te connais tu n'y crois pas. Petit loup, perdu dans son plus profond .
Tu te réveille se matin avec envie d'aller aider les autres. Mais tu ne les connais pas encore, petit loup, alors pourquoi ne pas partire à la recherche du gibier? Aller Go! Tu avait quitter ta demeure sens avalé quoi que se soit. Tu n'as pas faim? Non, bon... Dit moi jeune loup, tu as fait des cauchemars cette nuits? Oui, c'est bien se que je pensais.
Astral est un loup qui, avec un passer très dur, fait des cauchemars toutes les nuits, à part les nuits de pleine lune, dont je ne c'est pas pourquoi. Promis j'essaie de savoir pour la prochaine foie. Alors j'en n'était ou? A oui, il partie de sa demeure. La langue pendu tu t'étires un bon coup. Et partie à la recherche de gibier, du moins, il espère en trouver 1. N'importe quoi. C'est pour lui une fierté. Même si ce n'est rien.
Il parcourait, déjà depuis quelques heurs, les terres. Il savais juste ou se situait son territoire, mais le reste il ne savais pas grand chose. Comme on dit "c'est sur le terrain qu'on apprend". Arriver sur un lieux qui ressemble une grande plaine, il se demandait en lui même si il ne c'était pas perdu.
Les oreilles en avant, la tête haut, le regarde qui porte au loin, une odeur. .. Quelqu'un? Alors pour vérifier il allait plus loin. Les pattes l'une devant l'autre. Les oreilles qui s'agite au moindre bruit, le museau en avant puis en arrière, sur le côté. Les yeux vairons, sur tout le champ de vision qu'il peut avoir. .
Codage by TAC
Invité
Invité
En savoir plus
Mar 6 Jan - 22:01
Gris de nuit
Faust feat. Astral
Un champ désert de folie humaine et une désolation proche de l'apocalypse. Foulé lentement, la cendre abondante. Marché avec aisance parmis les pleures des anciens marchands. Marchés sur la mort, sur les cendres. Cendres de feu, cendre d'os. Quelle différence. N'y a t-il donc pas âme pure pour émettre la moindre hypothèse sur ce champ de bataille
N'y a t-il donc pas moindre vertus pour ouvrir les yeux sur ce carnage. La vertu n'a rien avoir avec le sang, la mort, ou encore la destruction. C'est ce que Faust pensa en observant ce miraculeux paysage. Lui rappelant lentement son esprit. Aussi gris que celui ci. C'était comme un nuage duveteux de neige grisâtre happé par les profondeurs. Tombant du ciel en de petit giboulée d'étoiles étincelant. Lui rappelant vaguement les yeux profond de son frère. Son frère, qui se trouvait non loin de là, allongé plus loin en dehors de la vallée de la mort. A l'abris. Faust avait décidé de s'aventuré, pour voir ce paysage et son évolution. La dernière fois qu'il était venu il avait quatre ans. Et sans grand étonnement, ce paysage métaphorique n'avait pas changé. Il était fidèle a lui même, neutre, froid. Il fut heureux de voir que ce paysage si chère a son cœur n'avait pas changer, tout comme lui. Quand le monde vous a réduit en cendre, vous brûlez avec lui. Loup imposant, Faust était debout. Il ne s'asseyait que rarement, toujours aux aguets. Impossible de distingué le ciel sur cette plaine, les cendres volaient avec le blizzard. Brouillant sa vue. Il se repérait a l'odeur. Ici tout semblait si intemporel. Plus de temps ni d'espace. Il sentit une odeur. Un loup. Un autre. Pas Whirl'. Son frère avait une odeur propre à lui, celle de la chair fumante et de sang sec. Constamment il portait cette odeur comme un trophée. Finalement, Faust avait toujours pensé qu'il parsemait son pelage de sang pour camouflé son odeur et ainsi se protégé, mais il comprit bien vite que cela n'était que par vice et était devenu une sorte de manie incontrôlable, de sociopathe, psychopathique. Bien que Faust n'en était pas moins pire. Une silhouette grise apparut d'entre les cendres. Semblant revenir du pays des morts. Il était gris, comme le ciel, comme le sol, comme lui. Il ne distinguait que sa forme. Mieux valait-il ne pas distingué la moindre autre parcelle de son corps. Ou Faust n'aurait put résisté à d'atroce pensé misanthrope. Sa voix rauque et grave résonna comme un tambour. Sans la moindre émotion, sans le moindre geste. Juste le sons puissant de ses cordes vocales vibratoires. « Dégage. »
Un autre loup, un solitaire sens aucun doute, la chance avait mal tourné pour toi Astral. Il t'avais parler d'une voix puissante, se loup dont tu ne connais pas le nom semblait bien plus fort que toi. Il avait des yeux marrons, mais le plus drôle dans l'histoire c'est qu'il avait deux tâches bleus a l'intérieur. Toi aussi Astral tu as des yeux différents. Un oeil vert et l'autre bleu.
La menace de ce loup t'avais fait revenir sur ton côté sombre, celui pour qui tu te bas. Tu avais envie de le déchiqueté, de le tailler en pièce, de le manger, de le faire souffrir, d'avoir du sang partout sur ton corps mais surtout voir du sang partout autour de toi. Tu avais une grosse envie de le tuer et de jouer avec des morceaux de son corps. ..bref.
Mais tu ne fis rien, pas parce que tu es lâche, non sa n'as rien avoir. C'est jusque tu ne veux pas revivre ton passer.
《Mince alors》dit tu tout bas
Sa c'est ton côté pacifique, tu ne veux plus chercher la violence. Alors comme toute personne calme, tu fis demi tour, sens laisser le moindre émotions. Après tout ce monde n'est pas le tien. .
Codage by TAC
Invité
Invité
En savoir plus
Mer 7 Jan - 13:47
Gris de nuit
Faust feat. Astral
Il fut heureux de voir un loup simple et sans grand interêt qui savait reculé lorsqu'il en était nécessaire. A vrai dire, Faust avait le ventre plein, pas la peine d'être gourmand. La vie était chose rare en ce moment.
Le loup qui semblait plus jeune et plus fluet fit demis tour, surement moins expérimenté, bien que plus rapide. Et un mot vint tinté aux douces oreilles de notre amis Faust. Une phrase murmuré. Il n'y compris rien. Mais c'était surement une insulte en son égard. En son humble personne. Il ne l'avait pas insulté lui, il l'avait juste prié de partir, un peu violemment certes, mais avec simplicité, tact et franchise comme à habitude. Il avait crut entendre dans la voix de l'inconnu une once de dégout. Même si il ne put réellement entendre cette phrase murmuré, lui en comprit tout autre chose. Faust se stoppa net sur le sol brumeux de soie. Sa tête vrilla violemment en arrière, observant le loup gris reculé dans la bourrasque de cendre et disparaître petit a petit. Il pouvait partir et oublié ce malentendu, disparaître. Ne pas a avoir a discuté avec une espèce de loup des champs futile et docile. Ou il pouvait ce confronté a la réalité, et lui en faire subir les conséquences. Il se retourna avec entièrement. Décision prise. On ne recule pas. Il aboya violemment entre les cendres, faisant étincelé ses yeux de feux et d'eau. « Hè ! A qui tu parles clébard ? » Il attendait avec impatience de pouvoir croisé le regard de ce loup qui avait osé insulté le grand Faust. Ou du moins c'est ce qu'il avait crut comprendre. Sa langue vin caressé doucement ses babines baveuse.
Décidément, ce n'était pas ton jour Astral. Deux insulte en deux phrases, se qui te fessait rire intérieurement. Pacifique? A quoi sa sert si il n'y as pas de violence? A rien. Toi qui voulais être un loup respecter tu en n'a du chemin à faire. Ce qui est bien c'est que aucune des choses qu'il a pu te dire ne te fait quoi que se soit. D'ailleurs pourquoi avoir peur? Sa ne sert à rien. Tu continues ton chemin, en espérant que se vieux ne te suis pas.
D'un air sombre tu marchais sens même te retourner. Il cherchait la bagarre? Et bien c'est pas avec Astral qu'il va la trouver. Je te félicite mon petit loup, en te connaissent tu l'aurais déjà sauter à la gorges. Mais le passer c'est le passer. Ce qui compte c'est le présent. Son odeur était toujours présent, il sentait....bref il avait une odeur propre à lui même, comme chaque loup.
Puis il a un tour de mémoire, sens le faire exprès il ne savait pas par où aller, alors il retourna voir le loup, et dit d'une voix sympathique.
《Tu c'est ou c'est les collines? 》dit tu d'une bonne haut 《désolé jeune loup, je ne voulais pas être méchant dans mes paroles》 même si il avait rien dit il excuses quand même, franchement respect total. .
Codage by TAC
Invité
Invité
En savoir plus
Jeu 8 Jan - 21:21
Gris de nuit
Faust feat. Astral
Petit loup cupide et arrogant. Heureux de comprend que tu a un cerveau. Le jeune loup semblait s'effacé doucement dans la brume. Bonne idée, ne jouons pas aujourd'hui.
Mais le loup ne semblait pas avoir mesuré l'ampleur de sa présence face a Faust, et la gène occasionné par celui ci. Et il trouva bon de faire demis tour et de revenir le voir. Une attaque. Allait-il lui répondre de manière fugace et déconcertante. N'avait-il toujours pas compris le sens du mot dégage. Pourtant il semblait tout sauf agressif. Il lança avec un regard qui frolait la sympathie. Ce loup était si étrange, que Faust en resta frustré. « Tu c'est où c'est les collines ? » WTF. Ce loup était revenu lui demandé son chemin. Faust avait-il l'air un panneau indicatif? Avait-il l'air gentil, agréable et de bonne compagnie? Ressemblait-il aujourd'hui plus a une peluche qu'a un ours féroce? Et celui ci renchérit. « Désolé jeune loup, je ne voulais pas être méchant dans mes paroles. » Faust restat bouche bée, la bouche entre ouverte. Puis après un leger blanc. Il ne put s’empêcher d'éclaté de rire en hurlant, la tête jetée vers le sol. Soulevant la cendre avec son rire. « JEUNE LOUP?! HAHAHAHH. IL M'A APPELÉ JEUNE LOUP! » Il mit sa patte sur ses yeux, tellement il riait. Il releva la tête en toussant. « Non mais y'a pas a dire toi tes un grand malade. » Il s'approcha un peu plus du visage du loup, se grandissant, il faisait 10cm de plus que lui au garrot et surement 15 kilos de plus. Les yeux dans les yeux. Une bourrasque de vent les auraient fait s'embrassé, tant ils étaient proches. « Vue la taille de tes ergots, je dois avoir trois ans de plus que toi gamin. » Silence de mort. Regarde cuisant et instable.
Sens le faire exprès il avait fait rire le vieux. Et ben si je m'attendais à sa. Même moi j'en reviens pas. Astral faire rire les gens. Tu pencha ta tête, même toi tu pensais que c'était une blague. Mais non en faite. Tu le regarda avec tes yeux vairons. Presque envie de dire "pourquoi tu rigole? " mais c'est seulement après que tu réalisé que. A oui d'accord c'est un "tober" qui veut dire malade.
《A oui en effet tu est bien plus vieux que moi, tu doit être surtout aussi fort que moi》dit il poliment.
avec simplicité tu avais dit une phrase correcte. C'est vrai que le loup devant toi pouvais te battre puisqu'il était fort, mais le risque que tu avais peur c'est qu'il t'écrase. Avec un poids pareille. Un grand malade. Oui il n'as pas tors Astral est un grand malade. Surtout imprudent, comme un louveau. Chose qu'il apprendra avec les années. .