En savoir plus | Jeu 27 Fév - 19:06 | |
| - .J'ai Faim. Mais j'ai aussi la Flemme. - Oilossë | Chasse SoloOn a tous un côté super héros. Regarez-vous, et dite moi ce que vous en pensez. Le lendemain. C’était il y a peu de temps d’ailleurs. Le soleil entamait sa longue journée, et la rosée du matin vint à son tour éclabousser la truffe de la jeune novice. Il faisait tôt. L’aurore était là, et la fraicheur était présente. Elle entendait les oiseaux. Les quelques geais des chênes, ou encore les martins pêcheurs qui esquissait un sourire malicieux en rapportant de drôles de poissons à leur nid. Elle vint à se lever. Elle peinait oui, car sa nuit ne fit pas la plus réussite de toutes. Mal de crâne, courbatures, rien de tout cela n’était bon. Cela annonçait plutôt une journée dure et pleine d’émotions. En se réveillant, la jeune femelle s’aperçut qu’elle s’était endormie sur un lit de mousse. Assez confortable il faut dire. Elle avait bien dormi, mais la veille l’avait totalement épuisée. Elle sursautait. En route, avait-elle envie de dire. Mais les chants d’oiseaux lui dirent de se rendormir. Du moins c’est ce qu’Oilossë pensait !
Oilossë se mit en route. En chemin, nombreux furent les proies qui étaient d’une extrêêêêême facilité à attraper. Seulement Oilossë avait trop mal aux pattes pour chasser. Et puis après tout, la faim passe avant tout. Oilossë s’arrêta net. Un instant puis, le lièvre vint à s’échapper. Mais était-ce vraiment un lièvre ? Oilossë le pensait. Mais elle pensait surtout que son imagination lui jouait des tours. La jeune novice posa une patte en avant et, en une demi-seconde le lièvre s’échappa. Il voulait jouer à la course contre la mort lui.
Le soleil s’envola très haut dans le ciel. Tout le terrain de chasse était visible et, l’œil perçant de la belle apprentie ne la trompa point. Le lièvre. Ce lièvre. En était-ce vraiment un, ou était le fruit de l’imagination d’Oilossë ? Code par Symphonie (c) |
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En savoir plus | Jeu 27 Fév - 19:07 | |
| Je lance le dé de chasse. c: |
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Points : 994
Âge Personnage : X ans
Rang : Rang
Niveau Rang : Niveau
Maladie :
Blessure :
Détails blessures : Pas de Blessure
Détails maladie : Pas de Symptôme
Bonus Force : +0
Bonus Agilité : +0
Bonus Endurance : +0
Bonus score de chasse : Score de chasse : +0
Nombre de lancers quotidien : Nombre de Chasse : +0
Bonus Santé : Bonus Santé : 0
Bonus/Malus Autres : Bonus/Malus Autres (autres dés)
Compétence d'élite :
| Jeu 27 Fév - 19:07 | |
| Le membre 'Oilossë' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé de chasse' : 9 |
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En savoir plus | Jeu 27 Fév - 19:29 | |
| - .J'ai Faim. Mais j'ai aussi la Flemme. - Oilossë | Chasse SoloIl faisait très beau. Et la chaleur se faisait drôlement ressentir. C’était le moment de chasser. Mais les courbatures et les douleurs incessantes d’Oilossë l’empêchaient de se déplacer pour aller à la chasse. Elle souffrait intérieurement des courbatures. Mais lorsque son estomac commença à se manifester, la novice ne perdit pas de temps. Elle avait passé la nuit sur un étrange lit de mousse qui était pour elle des plus confortables. Mais le moment était venu. Elle accourait. Dans la forêt charbonneuse, chaque détail était important. Que ce soit un tronc déraciné, que ce soit un marais ou une creuvasse, chaque détail était important pour mieux l’esquiver. Mais pourquoi parler de tout cela lorsqu’on est flemmarde comme Oilossë ? Au loin, là-bas. Une ombre à grandes oreilles s’était levée. Une odeur aussi. Ce qui mit alors la louve de nacre sur sa bonne piste. Les oreilles redressée, la queue relevée ainsi que les crocs dévoilés, Oilossë ne perdit pas une minute. Elle avait sauté. Elle avait osé le faire. Sauter par-dessus un tronc d’arbre. Le lièvre l’avait vu et quant à lui, ne perdit pas une seule seconde afin de s’enfuir. Mais la novice ne s’était pas trompée. Son imagination ne lui avait point joué de tours comme elle le pensait. La silhouette était présente certes, mais l’odeur y était aussi. Dans la forêt, seule la louve était en pleine course. Elle qui avait une très bonne endurance elle ne cessait de défier les plans de la nature. Trons d’arbres et marais boueux n’étaient pas ses ennemis. Elle les esquivait, sans aucuns soucis. Elle sautait par-dessus eux, ou passait en dessous des épines. Mais arrivé à un moment ou la clairière apparaît. Et quand les clairières apparaissent, les lièvres disparaissent. Ce qui fut le cas. Aucune trace de proie en vue. Oilossë s’arrêta. Elle n’était pas du tout essoufflée. Mais dans le vent, la louve de nacre aperçut un trou. Un terrier pour être précis. Mais celui-ci était creusé sous une souche d’arbre déraciné. La louve n’avait aucune chance. Mais cette dernière n’était pas du genre à renoncer si facilement qu’elle en avait l’air. Elle y allait. Elle s’en approchait. Le trou était si profond qu’elle n’y vit rien au bout. Noir, était la couleur qui le qualifiait. Oilossë creusait. Mais la souche lui bloquait le passage. Hum. Comment faire ? La novice avait une prise. Avec l’aide de ses crocs elle tira une branche qui était très bien fié au bon endroit. Elle tirait de toutes ses forces. Mais c’était un bon moyen de s’entraîner avec ses crocs non ? Mais elle qui n’avait pas énormément de force avait du mal. Oilossë redoublait d’efforts. Il lui fallait ce lièvre. Lièvre ou lapin, quelle était la différence ? De toute façon la louve n’y arriverait pas. Oilossë redoublait d’effort mais, rien à faire. Au bout d’un certain temps elle finit par réfléchir à ce qu’Empress lui avait dit. Un jour lorsqu’elle fût petite, Oilossë avait longuement écouté sa tante sur les conseils de chasse que celle-ci donnait. Mais la petite s’en fichait, elle préférait jouer, elle. Mais après beaucoup de réflexion, la novice se souvint.
« Chaque terrier a une entrée mais aussi, une sortie. Lorsque l’entrée est impénétrable, la sortie est bien plus facile à avoir. »
L’apprentie vint à chercher la sortie. Elle avait du mal mais, finit par la trouver. Un chemin qui menait à un trou … Profond. Très profond et aussi surtout, très noir. Mais le lièvre avait finit par vouloir sortir au bout, lui aussi. Mais lorsqu’il vit le museau d’Oilossë, ce dernier finit par rentrer dans son trou. Oilossë pensait alors qu’Empress disait n’importe quoi et que cela ne marcherait jamais. En tous cas, ce n’est pas demain que le lièvre pointera le bout de son museau à la sortie du terrier ! La novice s’approcha lentement de l’entrée. Elle hésitait à défier les lois de la Nature. Mais cette fois-ci, elle voulait redoubler d’effort, se surpasser. Alors Oilossë tira, tira encore et encore. Le tronc bougeait. Il bougeait de plus en plus même. Mais quand on veut, on peut. Et ça, Empress lui avait dit maintes et maintes fois. Oilossë espérait y arriver. C’était la dernière chance qu’elle accordait aux idées dîtes « stupides » de sa tante. Et là, le tronc bougea. La jeune femelle avait réussit, enfin. Et le pauvre lièvre qui avait fuit à toute vitesse la sortie vint à l’entrée, le cœur battant. Mais cette fois Oilossë ne se laissa pas faire. Un coup de crocs, et quelques gloussements de souffrance. Mais au moins, l’estomac de la femelle ne se plaindra plus. Au moins ! Elle rentrait chez elle. Pour se reposer cette fois-ci. Les épreuves de force, c’est finit ! Code par Symphonie (c) |
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