Encore un matin, un matin monotone, une matin comme tout les autres. Levé depuis quelques temps, Kiriac se mit en route vers la cabane du chasseur, la d’innombrables objets attendaient d’être déchiqueté. Le loup se guida avec son odorat, se rappelant exactement l’odeur que dégagé cet amas de bois: la pourriture du bois, la poussière, l’odeur de la terre et surtout, celle des humains. Tres vite, il alla va la cabane, ayant prit comme precaution un coup d’oeil aux alentours. Quand il entre dans l’antre de bois, celui ci craqua avec son poids et cela lui fit sourire: il avait prît du poids, mais pas en graisse mais en muscle. Laissant ces dernieres pensées de côté, il entreprit une fouille dans l’endroit même ou entreposer les humains tout genre de chose. Bien qu’il ne sut donner un nom ou même deviner leur veritable fonction, pour Kiriac, tout ces objets etaient bon a detruire. Il decouvrait alors, a son grand mécontentement, que des objets coupants ou suceptible de le blesser. Prêt a prendre le temps qu’il fallait, il resta patient et fouilla sous tout les angles l’endroit ou il se tenait. Enfin, il trouva des morceaux de bois clairs, surmonté d’un bloc noir pesant lourd. Il ne voulut perdre plus temps et attrapa les vingtaines de ces objets pour les amener a la lisière de la forêt, la ou il avait une vue d’ensemble sur la cabane et ses alentours. Il s’etait allongé et avait bloqué entre ses pattes l’un de ces objets etrange. Il se mit a mordre celui ci avec beaucoup d’effort car contrairement aux apparences, le manche était d’une solidité plus haute que la normal. Bien décidé a renforcer sa machoire, il continua donc ainsi, s’acharnant dessus. Apres de longues minutes, le bois céda dans un craquement puis l’instant d’après, Kiriac le brisa en deux. Heureux de constater qu’il avait reussit, il recommença avec un autre, puis un autre. Au fur et a mesure qu’il empilait les bois cassé , sa machoire elle, avec la tension que Kiriac provoqué, commençait a lui bruler jusqu’au os. Conscient qu’il forcer beaucoup dessus, le loup dut prendre une pause puis recommença la manoeuvre. Ainsi donc, il avait brisé une vingtaine de manche, ne laissant que des outils défectueux aux humains. Heureux d’avoir participé a une dégradations d’objet contre les bipède, Kiriac se leva, satisfait. Mais cela ne lui suffisait pas et il voulut encore améliorer son etreinte mortelle alors, il s’approcha près d’un arbre ou une corde y était accroché et tira sur le bout . Tel un loup hargneux qui avait envi de passer ses nerfs en faisant quelque chose d’inutile, Kiriac tira la corde avec férocité. La corde se tendait selon la force qu’il employait, arrachant des morceaux d’ecorces au passage. Le loup balançait sa tête de gauche a droite frénétiquement, puis recula en s’aidant de la force de ses pattes. Il imaginait qu’il devait reussir a couper la corde pour liberer l’arbre. C’était une pensée stupide mais cela lui suffisait pour lui donner plus d’entrain. Il continua avec ténacité, sans s’arrêter, durant des heures, jusqu’a ce que la fatigue le regagne . A bout de souffle, ses membres tremblants, sa machoire douleureuse, il s’allongea au pied de l’arbre. Avec le froids , la chaleur qui se dégageait de lui s’etait calmée peu a peu.

Dès dès !

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'Dé de chasse' : 12

Quand son repos touchait a sa fin, le loup s’était remis à tirer la corde, certain qu’un jour, celle ci cederait sous sa force. Même si il pensait que cela n’arriverait pas demain la veille, il avait espoir qu’avec ses entrainements, un jour il y parviendrait. Il continua ainsi, a forcer comme pas possible, à provoquer une traction sur la corde qui ne semblait nullement altéré. Durant de long moments, il avait tenu bon jusqu’a ce qu’un bruit de pas lourds le fit arrêté net. Oui, a present , il en etait sûr. L’odeur d’un gros gibier, celui d’un sanglier, lui parvenait distinctement aux narines et les bruit de cet etre colossale lui donna un avis sur la difficulté de cette chasse. Non, il ne pouvait laisser passer une tel occasion . Ainsi donc, il regarda derrière l’arbre ou il se trouvait et vit avec surprise un enorme énorme sanglier, un mâle d’age mature. Ses dents dépassaient largement de sa gueule et sa taille laissait comprendre au loup qu’il avait pas souffert de pénurie de nourriture. Le sanglier qui était dos a lui, ne l’avait heureusement pas encore remarqué, laissant à Kiriac un temps de reflexion. Oui, il voulait tuer cette animal, mais devait il l’épuiser auparavant ou jouer sur la force brut? Contre un tel specimen, il avait de grande chance de se faire blesser mais il ne voulait penser a cela.Kiriac prit une decision et sauta sur le dos de l’animal, fermant sa machoire sur son dos. Le sanglier prit alors par surprise, se mit a courir a une vitesse folle, malgré qu’il est un loup sur le dos. S’aidant de ses pattes pour ne pas glisser, Kiriac etait impressionné par la vitesse de sa proie qui arrachait toutes les branches des buissons congelé sur son passage. Aussi, le sanglier prenait la direction de la cabane, comme si il allait foncer dedans. Ne cedant pas, Kiriac enfonçait encore plus profondement sa machoire dans la chaire de sa proie en lui infligeant une nouvelle morsure. Avec une douleur pareil, le sanglier s’arreta net e courir et se jeta au sol, voulant ecraser le loup. Kiriac dut partir du dos du sanglier et profita qu’il soit au sol pour qu’en une fraction de seconde, se jeter a sa gorge. Le sang gicla , arrosant la mufle du loup ainsi que sa poitrine. La chaleur du sang faisait fondre la neige qui se trouvait en dessous d’eux. Le sanglier se debattait comme un fou, ess1yant d’assener des coups au loup mais Kiriac plaqua l’animal avec ses pattes, forçant de toute ses forces pour le maintenir au sol. Ceci dura des dizaines de minutes, ou seul la force et l’endurance du loup lui permettrait d’en venir a bout . Enfin, le sanglier se laissa mourir et Kiriac pu lacher prise, dans une fatigue tel qu’il dut s’allonger une nouvelle fois, exténué. Oui, comme toujours, ses matinée brillaientt de succes .