Partie 1: un loup, une araignée et un humain



Depuis l’aube, le Marcheur du Ciel avait entreprit de marcher dans un sentier, au plein coeur des bois. Bien que le blizzard faisait encore rage, les branches des arbres formaient au dessus de lui un manteau protecteur qui diminué grandement les bourrasques de vents. Kiriac avait décidé de se diriger vers ces contrées car peu de ses congénères osaient s’y aventurer. Oui effectivement, au village des hommes, les chances de rencontrer un bipède etaient beaucoup plus grandes ainsi que les risques. Oui, les humains defendaient farouchement leur troupeaux de betail et tout animal qui serait suceptible de causer des ennuis etait immédiatement tué. Kiriac faisait donc profil bas, tandis qu’il se rapprochait du village. Bien qu’il n’avait pas en tête de piller les humains, neamoins, il esperait trouver une de leur bête égaré dans les environs. Bien qu’il sache que ses chances de trouver une volaille ou une vache soit presque reduit a néant, Kiriac continua de roder sans se laisser voir. S’abritant , se camouflant dans la masse neigeuse, il avait etudier le terrain pour ne pas apparaître aux yeux de ses ennemis. Il longea des rochers anguleux, cacher en partie par la poudreuse, pour enfin atterrir non loin du cours d’eau qui longeait le village. Intelligent sans nul doute, les humains avaient pour habitude de construire leur camps près d’un point d’eau. De plus, cela leur fournisse une barrière naturelle contre certains animaux. Tandis qu’il continuait son chemin tranquillement, il vit la silhouette d’un baton positione de manière non naturelle. Oui, la, juste devant lui, une branche noire était posé contre le tronc d’un grand arbre et attaché contre lui a l’aide d’une corde. Kiriac, ne comprenant pas ce que cela pouvait etre et signifier, pencha la tête sur le côté, perplexe. Apres avoir jeté un rapide coup d’oeil aux environs, il s’approcha de la bizarrerie et l’observa. Il avait laissé un mètre de entre lui et la chose, histoire de ne pas se faire surprendre. Une fois qu’il fut sûr que rien, ou pas grand chose, pouvait lui arriver, il toisa la curiosité. Oui, apparement, ce baton noir etait non vivant. Aussi, il sentit l’odeurdes hommes dessus ce qui lui indiqué que ceux la même s’en servaient. Pour pouvoir comprendre la chose, Kiriac decida de la détailler dans les details . Le regards du loup s’etait d’abords posé vers le bas, la ou la canne prenait appui. Non, ça ne pas des pattes mais une matière etrange, comme du lichen , entouré le baton sur quelques centimètres. Kiriac s’en approcha et sentit l’odeurdes hommes presente sur cette mousse plus que le reste. Voulant comprendre d’avantage, il remonta son regards ignorant. Un genre de boîtier rond, en matiere etrange etait fixé sur le baton. A l’intérieure, il y avait des fils, comme des toiles d’araignée s mais d’un epaisseur si grande qu’il grimaca. Les humains prenaient ils des fils d’araignées geantes? Ou est ce encore une de leur invention? Kiriac prefera sa première théorie, plus naturelle mais écoeurante. Le loup cntemplait cette bobine avec intérêt et se demanda a quoi pouvait bien servir le morceau qui dépassé de la boite ronde. Délicatement, il posa ses crocs dessus pour ne pas le casser, puis poussa doucement. Un bruit de plastique s’en suivit et Kiriac fit un bond en arrière. Kiriac avait regardé partout autour de lui, ayant l’impression qu’un bipède se trouvé juste derrière lui et qu’au moindre de ses mouvement resté caché dans son dos. Quand il prit confiance en lui, apres s’etre cacher non loin de la chose, il reprit son observation. Il reessaya une nouvelle fois de faire pivoter le morceau qui pendait du boîtier et comme auparavant, le bruit strident réapparu. Kiriac s’etait retenu de se cacher, prenant son couragea deux pattes et continua ainsi pendant quelques minutes. Oui, le fil a l’intérieure du boîtier semblait decrire des cercles sans s’emmêlés, comme si cette manoeuvre etait inutile. Alors qu’il commençait a se dire que cette chose n’etait rien d’autre qu’une branche sans importance, quelque chose toucha son dos. Son poil s’etait hérissé et plus que jamais il crut qu’un humain se tenait derrière lui, le pointant de son arme. Quand il se retourna, prêt a attaqué il ne vit rien ni personne mais une chose venait de s’accrocher a sa peau sur son dos et il grogna. Il avait regardait au dessus de son épaule et sur le moment, il ne vit rien. Puis lorsqu’un vent violant vint jusqu’a lui, ce qu’il vit le fit frissoner. Oui, au dessus de lui il vit un fil scintiller d’un couleur clair. La première chose qui lui etait venu en tête etait que peu etre l’araignée se tenait dans l’arbre mais ne voulant s’imaginer une chose aussi grosse et monstrueuse, Kiriac se calma et observa Le fil. Oui, celui ci semblait venir de l’arbre a première vu mais pas totalement. En effet, celui ci ondulait vers l’extrémité, en haut du baton noir qu’il etudiait. Se pourrait il que son action sur le moulinet est provoqué la descente du fil? Oui, une lumiere s’illumina, même si il savait qu’elle n’etait pas encore prêt de tout comprendre. Il partit du principe que s’etait lui qui avait provoqué cela mais alors, pourquoi il avait l’impression que quelque chose le piquait? Kiriac retourna voir le boîtier et fit la même action que precedement dans le sens inverse. Oui, le fil semblait remonter mais une chose a son bout s’accrochait encore a sa peau. Kiriac laissa la canne de côté un instant et essaya d’attraper le fil en se tordant le coup au passage. Quand il reussit a l’atteindre, un truc le piqua dans sa gueule et tres vite il le cracha. Il vit pendre au bout du fil, un minuscule objet apparement métallique et recourbée. En formant ce demi cercle, ce dernier finissait en une pointe pointu , prêt a accroché n’importe quoi. Kiriac se demanda en quoi ce mecanisme servait, qu’est ce que cette canne etait censé attrapé. Bien qu’il soit un loup, peut etre pas des plus intelligent, il avait compris que ce crochet devait servir a accroché quelque chose. Ne pouvant comprendre pour le moment sa réel utilité, Kiriac voulut poursuivre ses observations. Une fois , enfin, encore une fois devant l’objet insolite, il le detailla. Le fil, sortit de la bobine, prenait un chemin le long de la tige. Celui ci emprunter un chemin de cercle noir , jusqu’a arriver a son sommet. Bien qu’il comprit une partie , beaucoup de choses lui echappait encore. Bien qu’il essayait d’envisager une montagne de possibilités, le bruit de pas humain lui fit sortir de ses pensées. Aussitôt, il s’etait planqué derrière un rocher , prêt a fuir si les circonstance le demander. Un bipède apparut, seul apparement et alla vers la chose. Il dessera le noeud qui le maintenait puis s’empara de la canne, la ou la mousse etait presente, comme un manche. L’humain se dirigea alors vers le cours d’eau puis insera quelque chose au crochet. Kiriac reconnu l’odeur du poisson et s’aperçu que la chose qui etait empalé a l’hameçon en etait un. Kiriac se demandait pourquoi le bipede avait de tel agissement, pourquoi il ne mangeait pas le poisson plutot que le mettre au bout du fil. L’humain rembobina le fil pour qu’il se tienne en haut avec le poisson, puis d’un geste court et simple, batta l’air comme si un ennemi se trouvait devant lui. Le bruit du plastique qui l’avait effrayé auparavant revint et le fil se deploya devant ses yeux, atterrissant dans la rivière. Non, Kiriac comprenait pas pourquoi l’humain venait de rejeter un poisson presque mort a l’eau. Le loup s’etait assit, ne perdant pas une goutte du spectacle qui se passait devant lui. Alors que l’ennui commençait a s’installer, le fil bougea, comme si une force venant des profondeurdel’eau agissait sur lui. Ensuite, il vit des remous et le bipede rembobina le boîtier avec vitesse. Que se passait il? Qu’elle chose provoqué tout ces remous? Le loup attendit puis il vit d’abords une nageaoire puis des écailles. Oui maintenant les choses lui paraissait plus clair que jamais. Ainsi donc, le bipede avait mit au bout du fil un appat qui a attiré un poisson . Celui ci s’est accroché a gueule avec l’hameçon et voila que le bipede le remonter, sans avoir touché l’eau. Une partie desagreable de la pêche en hivers etait bien évidement le froids glacial et crispant de l’eau mais avec cette technique, les humains ne savait même pas la température de l’eau. Oui c’etait brillant, il devait le reconnaitre, mais l’idée qui lui venait l’etait encore plus.

Partie 2: un loup, un hurlement et une chance



Oui, tapis dans l’ombre, habité par son environnement, Kiriac etait invisible aux yeux de son ennemi. Dans sa tête, des options s’offrait a lui et bien évidement, il ne put se resoudre qu’a en choisir une. Oui, depuis qu’il avait compris le mécanisme de la canne, il voulait se l’approprié. Bien qu’il remercié au fonds de lui le bipède qui lui avait fait une demonstration, il voulait s’emparé de l’objet en question. Même si il possedait pas de main, il etait sûr de pouvoir utiliser ses crocs. Alors, le loup attendit le moment ou l’humain mit l’appat sur le crochet. Quand il fut sûr, Kiriac bondit en dehors de sa cachette et surprit l’humain. Il poussa son ennemi avec ses pattes puis s’empara de la canne, appat accroché. Il fila a une allure folle, tandis que des hurlements de colère vinrent jusqu’a ses oreilles. La peur au venrre de s’etre attire tout les humains , il continua sa course pendant un long moment. Quand il decida de s’arreter, a bout de souffle, il lacha la canne de sa gueule et se posa prês du cours d’eau. Il s’y abreuva, conscient que peut être il allait devoir fuir a nouveau. Quand le calme etait revenu et qus son coeur s’etait calmé, le loup decida de se mettre a la pratique. L’humain, qui avait deja placé le petit poisson au bout du crochet, avait deja rembobiné le fil et il ne manquait plus qui lance d’un geste vif le tout. Kiriac avait mordu alors la partie fait en lichen et fit une grimace de degout. Il sentait le gout de la sueur d’humain entre ses crocs. Il faillit rejeter l’objet au sol mais se contenta de le maintenir fermement. Il recula, face au cours d’eau, se rememorant chaque geste du bipède qu’il retranscrit en loup. Il fallait absolument qu’il tienne la canne entre ses crocs sans la lacher, car il se sentait pas de faire trempette dans une eau glacée qui le rendrait malade. Il avait attendu quelques instants, se concentrant sur ses manoeuvres puis s’elanca vers la rivière. Quand il atteint les derniers mètres,, il fit une geste brusque avec sa nuque et soudain, le fil vola au dessus de l’eau, atterissant en son milieu. Kiriac avait remué son corps heureux, mais voila qu’un poisson tira sur le fil. Oui, il avait oublié qu’en l’absence de main, il lui serait presque impossible de rembobiner le fil. Kiriac voyait donc le poisson filé tandis que le fil le suivait. Par instinct, il attrapa le fil au vol, lâchant la canne au sol, en reculant. Oui, il voulait absolument reussir même si cela lui demander de la difficulté. Il tira alors le fil, reculant loin, loin derrière lui. Quand il aperçut l’enorme poisson sur la berge, il tira d’un coup sec histoire qu’il s’echappe pas. Kiriac courut vers sa proie bien portante et essaya de la décrocher, sans succès. Oui, le poisson se débattait et fretillait comme pas possible et il lui etait impossible de le retirer de l’hameçon. Le loup l’avait maintenu entre ses patte mais lorsqu’il le lacha, par chance pour le poisson, celui ci retomba a l’eau, se décrochant au passage. Kiriac avait grogne une nouvelle fois, mais vite un sourire s’etait dessiné sur ses babines. Oui, il avait reussit a atrraper un poisson. Même si il n’avait pu le décroché, cela lui suffit pour le satisfaire et canne a la gueule, il rentra en terre de l’ouest ou il le deposa dans son tank éventré.