Une fois encore, le Prince etait debout tot et le blizzard l’attendait. Le loup s’était étiré longuement, conscient que cela lui éviterait d’avoir les muscles endoloris malgré les exercices qu’il allait accomplir. Oui, il savait déjà ou il irait et par quoi commencer. Ayant dormit dans un tank éventré dans les terres de l’ouest, un long chemin le séparait du grand chemin goudronnée qui n’était autre que l’autoroute. Peu importe le nom qu’on lui donné, cette endroit ne faisait penser qu’au degats que pouvez provoquer les hommes même a leur propre creation. Kiriac commenca alors son long trajet en courant, voulant mettre a l’epreuve son endurance. Bien qu’elle soit correct, il ne viulait qu’il lui fasse défaut lors d’un combat qui parfois ne pouvait se gagner que par la durée. Obligé d’emprunter un chemin peu fréquenté par les homme, Kiriac dut s’aventurer sur des plaques neigeuses qui engouffraient ses pattes si il ne faisait pas attention. Bien qu’il sache reconnaitre la poudreuse et un manteau de neige stable, parfois, le choix ne s’offrait pas lui. D’un rythme plus rapide que la normal, son pas de course devait etre constant si il voulait atteindre le serpent de bitume dans un delais court. Prenant entierement conscience de chaque partie de son corps, il se concentra pour affronter les obstacles sur son passage. Lorsqu’une pente se tenait devant lui, il courait moins vite pour faire travailler ses appuie et non profité de l’elan sans forcer. Retenant chacun de ses pas, ses muscles se tendaient pour retenir son poids ainsi que controler ses mouvement. Quand il finit la descente, une montée l’attendait, tandis qu’un arbre le surplombé. Encore une fois, il ne voulut bénéficier de sa vitesse pour la monter mais uniquement de sa force. Ainsi donc, il grimpa avec assurance, s’efforcant de ralentir son rythme cardiaque qui voulait s’emballer par l’effort. Chacun de ses gestes le faisait bouillonner et il remercia la tempête d’être là pour maintenir une chaleur convenable malgré son entraînement. Quand il avait enfin reussit a atteindre le sommet du plateau il s’engagea sur l’autoroute. Bien sûr, il avait vérifié avec sa truffe si aucun homme etait present car le rideau de neige que provoqué la tempete ne lui permettait pas d’avoir un ensemble de vue assez large . Oui, il prenait des risques en venant a cet endroit mais parfois ca en valait la peine. Aussitôt qu’il toucha le goudrons, il sprinta , allant droit vers un trou qu’avait provoqué un obus il fort longtemps de cela. Conscient que le gouffre etait grand et profonds, Kiriac avait accéléré sa cadence pour atteindre sa vitesse maximale. Sentant les rafales de vents fouetter son corps tandis que de l’air frais rentré dans ses narines, il se sentit plus prêt que jamais. Il parcourut alors les quelques metres qui séparait du trou béant et lorsqu’il fut a la limite du vide, il sauta. Cette sensation qu’il ressentait a chaque fois qu’il bondissait lui rappelait le jour ou un obus avait exploser non loin de lui. Oui ce jour la, il avait perdu tout ses etres chère et il avait volait en l’air a cause de l’impact. Oui, c’etait ce même obus qui avait déchiré une partie du corps de son père et qui l’avait tué . Quand il atteri de l’autre côté du gouffre, encore dans ses pensées les plus noirs, il se mit a courir plus vite encore, bercer par la colère qui avait jaillit en lui. Filant a une allure folle, il avait enchaîné plusieurs trous beant sans même penser au danger qui se tenait devant lui. Quand il finit par bondir sur la dernière creuvasse, il enchaîna sur une course en plein milieu de l’autoroute. La rage au ventre, les hurlements de sa meute en tête, il evita les enormes gravats et pierres qui jonchait ce chemin conçu par l’homme, dérapant parfois. Contournant chaque obstacles sans ralentir sa cadence, ses griffes firent jn crissement desagreable. Lorsqu’il atteint l’autre bout du chemin, il s’arreta exténué mais pas encore avoué vaincu. Des petits arbres morts mais enracinés se tenaient devant lui et brusquement, il en attrapa un avec sa gueule et il commença a vouloir le déraciner. La tige tenait bon et cela mit encore plus en rogne le Prince qui se dechaina une nouvelle fois de plus sur lui. Il tira, secoua le petit tronc ne voulant pas le couper mais l’arracher. Les racines mortes mais neamoins encore bien accroché au sol, cederent peu a peu dans des craquements secs. Kiriac continua ainsi a arracher le plant et d’un seul coup, celui ci céda. Heureux d’avoir pu le déraciné, le loup s’en prit aux cinq autres qui se trouvaient à côté et apres un long moment, il reussit a tous les coucher au sol. Au bord de l’épuisement, n’ayant pas prit de pause, Kiriac s’allongea quelques instant.

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'Dé de chasse' : 7

Malgré que la colère s’etait atténué en lui, la vu d’un perdrix raviva ses sens. Ayant aucunement une chance de l’attraper vu dans l’epuisement ou iletait Kiriac decida tout de même de se lancer a sa poursuite. Avec la tempête, le volatile ne comptait pas s’envoler et cela il le savait. Bien qu’il pouvait se cacher dans les creuvasses qui les entouraient, le loup fila vers la proie sans prendre le temps de se cacher plus que necessaire. Alerté par le bruit et par la masse qui s’approchait de lui, le perdrix courut vers le bords du pont. Ayant deviner ses intentions, Kiriac stoppa le chemin duvolatile qui fila vers une autre direction. Le loup le poursuivit, malgré que sa rapidité soit réellement affaivlis affaiblis par ses exercices intensifs. Alors que leur course semblait ne jamais s’arreter, l’oiseau vola dans un arbre pour terminer leur échanges proie predateur. Kiriac grogna quelques temps puis finit par partir conscient que ça ne valait pasla peine depuis le debut.

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'Dé de chasse' : 1

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'Dé de chasse' : 5

Apres un moment de repos, Kiriac se remit sur pied prêt à s’entrainer de nouveau. Aucune proie rodait dans le coin , ainsi il ne sera pas déconcentrés. Le loup chercha tout d’abord des objets que les humain possedaient et par intuition, il alla vers le cadavre métallique d’une voiture. Il reniflait l’interieur avec degout puis lorsqu’il trouva les sieges sous une monticule de papier, il sut quoi faire. Il poussa violemment avec ses pattes les journeaux entassé pour pouvoir atteindre la banquette arrière. Lorsqu’il commença à mordre celle ci, les papiers s’en volèrent au loin dans un ballet de tourbillon que provoqué le tempête. Il arracha, dechiqueta tout le siege avec une hargne sans pareille. Il dut forcer avec sa machoire pour pouvoir éventré la banquette qui n’avait comme entraille que de la mousse blanche. Kiriac continua ainsi jusqu'à arracher le moindre lambeau des sieges, les sortants du véhicule. Les bourrasques s’etaient charger de faire disparaitre plus loin les residus de la voiture sans que le loup en tienne compte. Kiriac, n’ayant pas assez, s’attela aux sieges avant. Apres avoir prit une bonne prise avec sa machoire, il s’etait frénétiquement mit a bouger sa tête dans tout les sens , tandis que le bruit de dechirure se faisait entendre. Il avait reduit en lambeau les sieges, apres quelques temps . Sa machoire etait en feu par l’effort mais il n’en avait pas encore finit avec la voiture.

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'Dé de chasse' : 12

Kiriac continuait sans relache a tout detruire dans l’intérieur de la voiturra, ne laissant pas le moindre bout de tissu ou de cuir trainer. Une fois son travail achevé, il s’installa’sur le toit du véhicule, voulant voir la vue d’ensemble. Le blizzards soufflait encore des vents violents et parfois le loup eut dumal a rester immobile. Il avait reprit son souffle avec de l’air glaciale et contempla l’etendu de l’autoroute enneigé qui se tenait devant lui. La d’ou il se tenait, il put apercevoir au loin une biche. Voyant une occasion pareil se présenté, encore chaud avec ses entraînement, Kiriac descendit du véhicule et se cacha a l’intérieur. Mis a part des ressorts métalliques et quelques feuilles de papiers, la ou il avait reduit en lambeau lui semblait plus clair. Par la vitre, il fixa le cervidé avec une attention particulière, tapis dans l’ombre. Oui, il attendait que la biche se rapproche au plus pres pour avoir une meilleure chance de l’attraper. Quand celle ci passa devant l’engin métallique ou le loup se trouvait, Kiriac attendit encore un peu, le temps que sa proie se penche pour renifler quelque chose. Comme si il l’avait prevut, sa proie pencha la tête pour apparemment manger quelques herbes seches qui trainaient là. Ce fut le moment qu’il attendait et guidé par son instinct, il partit a sa poursuite. La biche, par la surprise, derappa sur une plaque glacé pour ensuite commencer a fuir. Elle avait une trajectoire peu commode, zigzaguant a chaque obstacle, prenant des directions differentes, elle tentait de semer son ennemi en lui faisant faire des erreurs. Mais Kiriac, qui venait juste de s’entraîner là, savait exactement ou se trouvé les pieges potentiel et quelle possibilité sa proie avait. Contre toute attente, la biche fila vers le précipice le plus large. Kiriac devina la suite et accéléra sa vitesse pour essayer de la rattraper avant qu’elle ne saute. Malheureusement, les choses se sont passé plus vite que prevut et lorsque sa proie finit les derniers mètres avant la bouche béante, elle sauta. L’instant d’apres, Kiriac l’imita, bondissant plus vers la gauche pour eviter qu’il se percute. Mais voila, alors’que le loup reussit a toucher terre de l’autre côté du triu, la biche elle se voyait pas aussi chanceuse. Seul ses deux pattes avant avaient reussit a s’agripper tandis que son corps commençait a glisser vers le precipice. Voyant sa proie filer, Kiriac fonca vers elle et l’attrapa au coup, le tenant fermement en refermant ses crocs. Celle ci se debattit tandis que le loup essayait de la retenir en reculant. Ne pouvant réussir a la maintenir et en même temps reculer, il serra sa machoire pour lui assener une morsure mortelle. La proie se debattit tant qu’elle pouvait, mais lorsque son sang coula assez, elle se laissa tomber. Kiriac avait reussit a la maintenir et a present, avec ses appuie s, il essayait de la ramener sur la terre ferme. Avec un effort surloup, il réussissait petit a petit aramener la biche . Centimètre par centimetre, il voyait son festin se rapprocher. Ce fut un combat de longue haleine qui lui fit travailler tout son corps ainsi que sa persévérance. Ses mucles tremblaient sous l’effort et losqu’il parvint a sortir la moitié de son corps, tout fut plus facile. D’un seul trait, il avait fait glisser la biche sur la neige et losqu’il finit par la deplacer loin du trous, il lacha prise et souffla longuement. Oui cette matinée aura aussi était fructueuse que les precedentes et ses exercices difficile comme il le voulait. Non, il n’allait pas en resta la, le lendemain, il allait encore s’entrainer.