La tempête maltraiter ton corps, la faim se faisais déjà sentir alors que l'hiver commencer à peine. tu suivais la trace d'un vieux lapin, ton regards froids tentais désespérément de s'habituer au rafale de vent qui emporter avec eux, multitude de petit flocons affoler. tu tentais alors de chasser. dans de telle condition. Pourtant, tu n'abandonner pas. si tu voulais survivre il le fallais n'es pas? tu tomba enfin face à la bête que tu suivait depuis au moins une bonne heure. tu releva doucement la tête qui jusque là était plaqué au sol et aperçue enfin le rongeur tant convoiter. Maigre lièvre brun, vieux et mal-nutri. La faim te poussa à faire un acte idiot: Tu te mis à pourchasser la bête, sans même attendre de te rapprocher. aussitôt qu'elle te vue, elle déguerpis. Tu courait, concentré, les muscles roulant aux rythme de tes foulé, les côtes saillante. après plusieurs minutes de course dans ce terrible blizzard, le lapin entra dans une de ces vielles usines. Toi aussi, aveugler par la proie, par le gibier que tu avait en face de toi. il sauta sur les poutres qui était de si de là, et qui était si vielle qu'on se demander comment pouvais t-elle encore tenir. C'est à ce moment que tu bénît l'entrainement que tu avait eu avec ta chef Skull, ou vous aviez sauter de poutre en poutre pour monter en haut de la grande roue. Tu sauta alors tout muscle contracté, pour te récéptionner sur la poutre, ainsi tu sauta de poutre en poutre, agilement et avec puissance et rapidité. tu était à deux doigt d'avoir ta proie quand tu observa avec surprise l'acte suivant: sans que tu ne l'ai vue devant vous se trouver le vide. et au fond se trouver tout sorte de débris pointue et rouillé. Le lapin, dans la panic sauta dans le vide, tu tenta de freinait comme tu le pouvait, mais en vain. le crissement de tes griffes sur la ferraille fit un bruit horrible et en un jappement d'éffroie tu tomba à ton tours. sombrant dans le vide, tu cru voir ta vie défiler devant tes yeux, étai-ce la fin? tu senti une douleurs atroce, à ta patte arrière droite, celle te ta chaire se faisans déchiqueté par le métal. tu était au sol. et tu ouvrit les yeux, apeuré. tu avait extrêmement mal au flanc et à ta patte arrière droite. Tu releva la tête et observa ton antérieur. Embroché. Embroché par un des bout de métal. ton flanc lui l'avait échappé belle, il n'était qu'à quelque centimètres d'un autre. mais le choc avait du te fissurer une côte au moins. Tu ne pouvait rien faire, Tu tenta tout de même de te levé, et hurla de douleurs. ne pouvait tu donc vraiment rien faire? non, non! pensa tu au fond de toi même! tu ne voulais pas! car tu le savais bien tout cela revené à mourir. Tu plaqua les oreilles en arrière. et tenta ta seule chance de t'en sortir. Tu lança un long hurlement. avant de posé ta tête sur le sol. tu sentait ton propre sang contre ta peau. était-ce ainsi que tu allait mourir? seul? lentement? douloureusement? après tout tes actes. tous ces meurtre. peut-être le mérité tu. Mais si jeune? était-ce ainsi que tu allais mourir?

tu entends des bruits, au fond de l'usine. Tu relève la tête et aperçois une jolie louve, blanche. Dieu soit loué elle s'approche de toi, elle à l'air de mal supporter l'odeur du sang. tu tente de te lever, oubliant que ton postérieur droit est embroché sur un pic de ferraille. tu grogne de douleurs, cet même douleurs qui te rend tout d'un coup agressif, probablement l’instinct de survie. Tu soulève tes babines, dévoilant une rangée de crocs acérée. Tu grogne en avertissement. tu sait que c'est idiot, mais ton ego et ton instinct te dicte les gestes à faire. Puis tu prend sur toi et dit en grognant de rage:

Quoi? quesque tu attends?! Aide moi!

elle ne va pas te laisser là tout de même. elle à plutôt intérêt même.

- Laisse moi examiner tes blessures

Je grogne un peu. dire que je vais faire confiance à une louve inconnue! je n'y crois pas! mais bon.ai-je le choix? absolument pas. donc je me laisse faire.

Lèche tes blessures. Cela empêcheras toute infection

Pour la première fois de ma vie, j’obéit à quelqu'un d'autre que Skull, alors je lève la tête et lèche les blessures les plus proche de moi, et bien je saigne bien comme il le faut. une fois la louve revenue elle pose les plantes sur les griffures les plus lourde, je grogne doucement de douleurs puis dit un peu agacé

Bon je ne peu pas me lécher les griffures de mon dos car je ne peu pas bouger mais...C'est bien jolie de soigner les griffures mais...je crois qu'il y a plus important, ma jambe est embroché et perds un peu trop de sang à mon gout!

Je lui désigne le bout de métal qui transperce ma jambe de par en par.

Il ne comprener pas pourquoi cet louve était aussi gentil avec un loup, surtout un Hordien, surtout lui. Il n'aimer pas trop le fait que la femelle lui lèche le dos, un geste dévouer elle à l'amour. là il n'en était rien mais même. il n'aimer pas ça. il plaqua les oreilles en arrière, puis la louve s'approcha de sa patte arrière droite.

Je vais retirer le bout de métal. D'abord, manges ça.

Dit-elle en lui montrant de sa patte les herbes.

Je te prévient : le gout n'est pas très bon.

Tybalt s'en fouter, lui n'était pas une chochotte. donc pas bon ou pas qu'importer du moment qu'il vivait. il commença alors à avaler les plante quand soudain une atroce douleurs se fit sentir. lorsqu'il tourna la tête en grognant il remarqua qu'elle lui enlever le bout de métal, il jappa alors:

Attends, attends. Je préfère que tu l'enlève d'un seul coup, ça sera plus douloureux mais moins long. tu compte jusqu'à trois, et à trois tu l'enlève ok?

Il suffoqua un peu à cause de la douleurs, mais il n'avait pas de temps à perde. alors il mordit le premier bout de ferraille face à lui et sera comme il pouvait, prêt à encaisser la douleurs.