Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 JAYDEN — do not pity the dead, pity the living [terminée]

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Dim 21 Déc - 23:37


NOM : Jayden, rien d'autre.
AGE : Cinq ans.
SEXE : Mâle.
MEUTE : Sekmet, ancien solitaire.
RANG : Guerrier.
AUTRES INFORMATIONS : Il arbore une balafre à l’œil droit.

JAUGE :

Force : 10
Agilité : 6
Endurance : 4


CARACTÈRE :

Insensé. Sans pitié. Rancunier. Narcissique. Cynique. Impulsif. Agressif. Violent, à l’esprit véhément. Froid. Droit. Fourbe. Présomptueux.

Le temps ferme toutes les blessures, même s'il ne nous épargne pas quelques cicatrices, c'est ce qu'on dit. Mais pour Jayden, ce n'est pas le cas. Ses blessures sont toujours aussi vives, toujours cuisantes et il ne se passe pas un jour sans qu'il ne pense à son père, mort de ses propres griffes, ou à sa mère, dévorée par les flammes ardentes.

Le plus souvent, il reste là, immobile, tandis que sur son visage se dessine un sourire énigmatique. Cruel. Vil. Froid. En vérité, oui, il est la cruauté incarnée, celui qui n’éprouve pas la monde pitié, ni la moindre compassion ou la moindre tristesse. Il n’est ni plus ni moins qu’un mur de glace, invulnérable à toutes les attaques sentimentales puisqu’il semble incapable de ressentir ne serait-ce qu’une pointe de sentiments, amoureux ou seulement affectifs. Rien. Son visage arbore toujours un masque d’acier qui ne laisse transparaître aucune de ses émotions ou, sinon, un simple sourire sardonique qui en dit long sur ses intentions et qui suffit à vous faire hérisser les poils sur l’échine. Jayden fait peur. Jayden est effrayant. Mais Jayden a ses faiblesses, qu’il faut réussir à trouver si l’on veut le mettre à terre. Même s’il fait tout pour paraître intouchable, le guerrier est loin de l’être, car ne dit-on pas qu’être et paraître sont deux choses bien distinctes ? Mettre la patte sur son lourd passé suffirait déjà à le blesser en son for intérieur et réussirait à lui ôter ce masque qu’il se contente de porter depuis bien des lunes.

Après cette infamie, après qu'il eut goûté au plaisir de tuer, bon nombre d’âmes magnanimes trépassèrent par sa simple faute ; il ne fut plus jamais le même. Lui qui auparavant n’usait de ses crocs dirimants et de ses griffes dévastatrices qu’en cas de nécessité en use maintenant comme bon lui semble. Un regard vipérin lui est adressé, et c’en est fini de l’imprudent qui a eu la négligence de déclencher la hargne du solitaire. Au fil du temps, il a fini par se forger une renommée d’assassin, et tout le monde se tient à l’écart de cette infâme créature, crainte et rejetée par tout un chacun. Si d’aventure on le croise, on rebrousse chemin à vive allure sans même jeter un regard derrière soi ; si on doit lui adresser la parole, on le fait de façon circonspecte en pesant bien le sens de chaque mot proféré. Il est définitivement de ceux qui sont capables de se jeter sur leurs congénères pour les lacérer de leurs griffes, les réduire à l’état déplorable de cadavres décharnés et laisser leurs dépouilles, là, à la vue de tous.

Il anéantit tout ce qui se trouve sur son passage, il extermine ses semblables d’un coup de ses crocs dirimants et fait suinter le sang sans la moindre commisération. Il effarouche les plus téméraires, intimide les plus juvéniles et commotionne les plus craintifs, farouche misanthrope qu’il est, reclus dans l’ombre atterrante de la forêt. Il s’éternise à rester dissimulé dans la pénombre sans jamais s’évertuer à entrevoir la clarté du soleil ; les ténèbres lui siéent platoniquement, la nuit l’envoûte inéluctablement. Le vide et le désespoir subsistent uniquement et s'arrogent son cœur, s'emparent de son être pour le broyer et le comprimer dans un étau dont il ne peut sortir. Oppressé, voilà ce qu'il est, incapable de se délivrer de cette étreinte douloureuse qui amenuise ses forces au point de le rendre chétif et fluet, loin du solitaire d'antan car voilà bien des années qu'il vit avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous sa masse prépondérante. Celle qui lui rappelle qu'il n'est autre qu'un innommable assassin, celle qui lui rappelle le surnom dont on l'a marqué au fer rouge. Parricide. Quoi qu'il fasse, quoi qu'il pense, elle est toujours là à ses côtés, cette pensée méphistophélique qui, comme un spectre morbide le secoue de ses mains osseuses quand il veut annihiler ces térébrants souvenirs. Elle se glisse sous tous les aspects là où son esprit veut la fuir, se mêlant comme une litanie endiablée à toutes les paroles qu'on lui adresse et s'apposant à lui pour ne former plus qu'un mot.

Misérable. Le crime commis le mènera à la mort. Rien ne pourra expier cette infamie, pas même le châtiment éternel auquel il se croit voué pour l'éternité.

PHYSIQUE :

Ses iris noires fulgurent d’une lueur de vésanie qui se lit également dans chacun de ses traits, en passant de son rictus sardonique à ses crocs libéralement dévoilés. Ils reluisent sous la couronne sélénite, nimbés par les simulacres livides et élavés de la lune à son apogée. Prêts à se planter dans une chair tendre et fraîche, exsudant d’un liquide pourpre et incarnat. Quant à ses griffes recourbées, elles balafrent inflexiblement la terre battue, animées par le seul et unique désir de dépecer une exuvie cadavérique. La lueur de démence qui transparaît dans son regard n’oscille pas. Il se tient debout face au vide, tel un prince siégeant sur son royaume, tel la nuit trônant sur son baldaquin d’ébène, l’allure altière et ses moindres traits tirés d’un air condescendant. Son cœur palpite dans sa poitrine dans un rythme effréné, dans une valse endiablée qui semble interminable. Prêt à déflagrer au moindre instant. Il le sent. Son instinct meurtrier s’empare, à chaque seconde qui s’effrite, inexorablement, de son être réprouvé. Il ne peut le réprimer. D’infâmes images s’apposent à son esprit malmené. Des corps inertes. Des charniers. Des cloaques. Du sang.

HISTOIRE :

CHAPTER ONE
—   Douleur des douleurs, rien n'aurait pu l'y préparer.

Ce soir-là, il n'arrivait pas à trouver le sommeil. La chaleur lui collait à la peau, l’emprisonnait dans un étau dont il peinait à s’extraire et le faisait suffoquer. Il se tourna et se retourna sans parvenir à se libérer du tourment qui le hantait. Il finit par pousser un long soupir qui s’envola flâner aux côtés des fragrances estivales, mêlées aux effluves forestiers qui lui parvenaient de là où il était. S'il tendait l’oreille, il pouvait percevoir le hululement des chouettes qui prévalaient sur la respiration lente et profonde de ses parents. Bientôt cependant, il n'entendit plus que son souffle rapide et saccadé et les battements de son cœur qui enflaient, si bien qu'il eut l’impression qu’il allait réveiller tout le monde. Il finit par sortir de la tanière en toute hâte.

En équilibre sur son écueil orné de mousse, du haut de ses quelques mois, il embrassait les environs du regard. Il était seul. Ses griffes recourbées venaient polir cette aspérité qui lui servait de promontoire. Elles crissaient sur la roche, mais il n'en avait que faire. On entendait seulement ce grincement, seul et unique bruit qui perturbait l’accalmie grandissante qui régnait au cœur de la clairière. A ce moment-là, il était loin de se douter qu’un incendie faisait rage lorsqu'il leva les yeux vers l’horizon d’ébène. L’air était lourd et les nuages épais et menaçants. Au bout de quelques secondes, un éclair vint illuminer la voûte céleste. Il frémit. L’orage grondait. L’orage approchait. Au bout d'un moment, il plissa les yeux lorsqu'il remarqua une lueur écarlate qui s’étendait au loin et se leva d’un bond lorsqu’une odeur de fumée, âcre, le prit à la gorge. « Papa, maman ! Il y a le feu ! » Il entendit des cris étouffés, des clameurs, les pas précipités de son père. Sa mère était encore dans la tanière, prête à mettre bas. En quelques secondes seulement, le chaos éclata autour de lui. « Cours Jayden ! Va t-en, je m'occupe de ta mère » lui hurla son père. « Tu me le promets papa, tu me promets que tu vas la sortir de là ? » Le solitaire lui jura qu'il le ferait, le louveteau acquiesça, et, mû par une peur soudaine, le poil hérissé, les membres engourdis, le regard fou, il s'enfuit en courant.
Quand il se retourna, il vit avec horreur que son père s'enfuyait de l'autre côté, sans sa mère. Jayden voulut revenir en arrière mais le chemin était déjà en proie aux flammes. Il s'arrêta, quelques instants, abattu, anéanti, le souffle court. Des cris fusaient. Des hurlements s’élevaient au cœur de cette nuit sombre et pleine de terreur et il ne put s’empêcher de rester là, à écouter sa mère agoniser, prisonnière des flammes, sans rien pouvoir faire à part pleurer, crier, supplier quelqu'un de lui venir en aide. En un instant, tout ce qu'il avait connu venait d’être réduit en cendres.

Il ne prit conscience que le feu avait gagné du terrain que quand il le sentit qui crépitait à quelques pas de lui. Il se releva et se mit alors à marteler le sol avec entrain, dans une explosion de force, dans une débauche d'énergie et de vigueur. Son cœur palpitait avec intensité dans sa poitrine tandis qu'il accélérait, encore et encore. Courir et sentir ses membres s'épuiser. Courir et sentir son souffle se faire de plus en plus rauque, profond. Courir, se jetant à corps perdu dans la course, les veines palpitantes et le cœur sur le point de se fendre en deux. Il lui suffit de jeter un regard par-dessus son épaule pour voir le feu qui se dressait telle une muraille derrière lui. La peur le gagna encore plus, mais elle ne le paralysait pas comme il l’aurait cru, non. Elle l'éveillait. Il se sentait plus vif que jamais tandis que son cœur tambourinait dans sa poitrine à une vitesse inimaginable. Il sentait un feu intense l’embraser et dévaler le long de ses veines. Ce même feu intense qui lui redonnait une énergie sans pareille et ce courage incommensurable.

Bientôt, l'aube sembla succéder à la nuit avec une précipitation proche de l'indécence et Jayden, lui, hurla à pleins poumons dans un cri qui lui enflamma les veines. Il se fit la promesse que son père paierait pour ce qu'il avait fait. Il mourrait comme il avait laissé mourir sa mère.


CHAPTER TWO
— Tu crois donc que les morts que nous avons aimés nous quittent vraiment ? Tu crois que nous ne nous souvenons pas d'eux plus clairement que jamais lorsque nous sommes dans la détresse ?

Trois ans après l'incendie.

Le crépuscule s’enracinait sur les terres et dardait la forêt de ses ultimes reflets. Les feuilles prenaient des teintes cupriques et flavescentes tandis que le ciel revêtait ses apparats les plus raffinés, aux bordures ambrées et aux couleurs rutilantes. Tout flamboyait. L’air lui-même semblait déflagrer devant la sublimation de la nature. Mais seuls des halos mordorés parvenaient à pénétrer parmi les feuilles des arbres pour illuminer le breuil recelé où se trouvait un loup, qui n'était ni plus ni moins que l’apothéose du mal, un fervent serviteur de la destruction et un fanatique de l’agonie. Il semblait frêle et malingre, courbé sous la désagrégation du temps et n'était au fond, qu’une statue de basalte, froide et austère. Un visage antipathique qui vous adressait une lippe cauteleuse, qui vous souriait amèrement et vous dévoilait ses crocs dirimants prêts à se planter dans votre chair. Un visage ravagé par la douleur et la dysphorie qui ne le quittaient plus désormais ; ses compagnes de chaque jour, de chaque heure et de chaque seconde qui s’écoulaient inexorablement. Son pelage semblait lui aussi marqué par les ravages de l’affliction ; auparavant luisant, il semblait avoir perdu son éclat d’antan pour n’être plus que terne et fade. Même la jeunesse qui semblait l’habiter quelques temps plus tôt paraissait s’être évanouie parmi l’abrasion du temps. Et son cœur lui-même n’avait pas été épargné ; le solitaire n’était plus qu’une créature infâme aux yeux de tous. Tout un chacun prenait consciencieusement garde à ne pas l’approcher, à ne pas lui parler, à ne pas lui adresser le moindre regard.

La hargne s’était emparé de son corps délié et le faisait frémir avec intensité. Il vibrait d’une colère froide et insatiable qui le rongeait depuis des années déjà. Une colère dirigée contre lui, contre tous ceux qui avaient contribué à sa disgrâce, comme son père pour qui il nourrissait une aversion sans pareille.  A cet instant, il éclata d'un rire sans joie tandis que la douleur, elle, venait tordre l'espace occupé jusque-là par son cœur, comme une bête fauve. Il allait le tuer. Il allait se venger.
Bientôt, il déboucha sur une vaste plaine. Il aspira une goulée d'air frais, et un rictus sardonique s'ébaucha sur son visage sans plus tarder. Là, juste devant lui, un loup se dressait dans l'ombre d'un arbre. Le guerrier, incommodé de ne pas avoir délié sa langue depuis bien longtemps, s’autorisa à prononcer ces quelques paroles d’une voix astringente tout en s’avançant vers la nébuleuse silhouette.

— Je vois que tu n'as pas manqué à ta parole, papa. C'est bien la première fois. Il retroussa ses babines et dévoila ses crocs. Maintenant, affronte-moi, droit et fier. Et souviens-toi d'elle, souviens-toi de maman tu as laissé périr dans les flammes.


CHAPTER THREE
— Tuer n'est pas aussi simple que le croient les innocents.

Impériale, claire et diaprée, l'aube finit par pointer le bout de son nez, elle qui réussit à le faire languir tout au long de la nuit. D'un rose crémeux, elle dévoilait ses pâles rayons matinaux comme une jeune fille pudique et s’appliquait à parcourir nonchalamment son corps et les blessures qui le zébrait. Fou de douleur à chacun de ses pas, Jayden serrait les crocs pour ne pas hurler mais c’était plus fort que lui. Des gémissements venaient briser le silence à intervalles irréguliers et il continuait d’avancer, ignorant les traces de sang qu'il laissait dans son sillage. Il poursuivait son ascension coûte que coûte, titubant et vacillant la plupart du temps, mais jamais il n'abandonna.

— La mort n'est que la traversée du monde comme des amis traversent les mers,  souffla-il entre ses crocs, le visage tordu par la souffrance. Est-ce que je vais te rejoindre, papa, est-ce que je vais te rejoindre ? Il esquissa un sourire dément, les babines retroussées. Mais oui, on va crever tous les deux. Je croyais que c’était soit toi soit moi, mais tu vois, c’est nous deux, ensemble. J’ai beau être encore envie, tu m’as salement amoché et tu sais tout comme moi que je ne m’en sortirai pas. J'aurai au moins la satisfaction de rejoindre maman.

Enfin, ce fut plus fort que lui, il éclata d’un rire macabre qui retentit en échos incertains au cœur de la forêt. Comment avait-il pu y croire une seule seconde ? Bien sûr que sa vie serait un enfer, et elle le serait encore, pour le peu de temps qu’il lui restait à vivre. Il n'avait pas besoin d’être un guérisseur pour comprendre qu'il était en train de crever. Il était seul, blessé, livré à lui-même sur les terres libres, et personne n’était là pour lui prêter main forte.  Il serait sûrement mort avant que le soleil soit à son zénith.

— Mais au moins, je t’aurais tué. Je me serai vengé comme je me l’étais promis ! hurla t-il en proie à une nouvelle crise de démence, le regard fou.  

Il ne voulait pas en arriver là. Quand il l'avait combattu, il avait senti le désir de vivre qui brûlait, qui bouillonnait en lui. Il ne voulait pas mourir et encore maintenant, il ne voulait pas. Chaque fibre de son corps vibrait à l’unisson. Il ne cessait de se répéter qu'il devait vivre sa vie à la lumière de son désespoir et il réalisait que la vie était faite de choix : oui ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Mais il apprenait maintenant que la décision de vie ou de mort nous appartenait rarement. Il n'avait pas son mot à dire et devait se contenter d'agoniser sans rien pouvoir faire, c'était ça la triste vérité.

Bientôt, il eut l’impression qu’un étau se resserrait sur lui, le comprimait, le faisait suffoquer et l’empêchait de respirer. Il lui sembla alors que tout basculait autour de lui et que le sol lui-même s’ouvrait comme un gouffre béant. Il se sentait défaillir et, pourtant, il n’esquissa pas le moindre mouvement. La lumière l’aveuglait. Elle recouvrait ses yeux d’un voile blanc et il ne sentait plus que la chaleur accablante du soleil sur sa peau, ainsi que son cœur qui battait à tout rompre dans sa poitrine. Sa bouche était sèche et la seule chose dont il avait envie en ce moment, c’était de boire. Il s'affala par terre dans un grognement. Il fallait qu'il continue, il le fallait ! Mais son corps refusait d’obéir et il resta là les heures suivantes, à implorer un miracle.

C’est toi ou moi. Il n’y aura qu’un vainqueur. Qu’un survivant. L'un de nous deux devra mourir de la griffe de l'autre car aucun de nous ne peut vivre tant que l'autre survit,  lança t-il dans le vent, à l’esprit de son père qui le hantait encore, même mort. Je t’ai dit ça, tu te souviens ? Mais je crois que je me suis trompé : on s’est détruit tous les deux, toi le premier. Je m’apprête seulement à te suivre.

A ces mots, une larme roula sur sa joue et s’écrasa sur le sol, glacée, suivie d’une multitude d’autres qui lui brouillèrent la vue, avec la terrible sensation qu’une fissure venait de s’ouvrir en lui, et qu’elle s’étendait si rapidement qu’elle allait le briser en deux. Il ne se comportait pas comme il le devrait, il était mal en point et pitoyable mais bon sang, quoi qu'il ait dit, quoi qu'il ait fait, il y tenait à cette vie de merde.

QUALITÉS ϟ DÉFAUTS : téméraire, énergique, perspicace ϟ cynique, fourbe, froid.
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Dim 21 Déc - 23:39

Bienvenue ! =D
Tybalt
Mange Lumière
Mange Lumière

Fiche de personnage
force:
JAYDEN —  do not pity the dead, pity the living [terminée] Qkci105/100JAYDEN —  do not pity the dead, pity the living [terminée] Qkci  (105/100)
agilité:
JAYDEN —  do not pity the dead, pity the living [terminée] Qkci105/100JAYDEN —  do not pity the dead, pity the living [terminée] Qkci  (105/100)
endurance:
JAYDEN —  do not pity the dead, pity the living [terminée] Qkci105/100JAYDEN —  do not pity the dead, pity the living [terminée] Qkci  (105/100)
Tybalt
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Dim 21 Déc - 23:42

Hellcome! Very Happy
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Lun 22 Déc - 0:34

Merci vous deux JAYDEN —  do not pity the dead, pity the living [terminée] 4192479438
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Lun 22 Déc - 0:49

Ton loup me fait peur... Mais bienvenuue JAYDEN —  do not pity the dead, pity the living [terminée] 3705122848
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Lun 22 Déc - 1:15

Bienvenue !
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Lun 22 Déc - 7:34

Bienvenue, toi.
J'aime ta plume. Réserve-moi déjà un lien, huhu.
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Lun 22 Déc - 8:23

Bienvenue, reserve moi aussi une place pour un rp! ; )
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Lun 22 Déc - 9:00

Welcome Smile
Belle fiche *o*
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Lun 22 Déc - 10:09

Bienvenue ^^
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Lun 22 Déc - 10:45

Merci, merci I love you
Je vous réserve volontiers une place !

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Lun 22 Déc - 11:29

Bienvenue *3*
Invité
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Lun 22 Déc - 12:21

(font=georgia]Bienvenue !
J'aime beaucoup ta façon d'écrire. Tu ne serais pas sur un forum LGDC par hasard ? Ton style me rappelle quelqu'un.
[/font]
Invité
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Lun 22 Déc - 12:25

Oui, je suis bien sur un forum LGDC où l'on me connait sous le puf de Caspian. Et toi, qui es-tu ? :3
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Lun 22 Déc - 13:22

Bienvenue ! :3
Invité
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Lun 22 Déc - 13:26

Bienvenue, ton personnage est juste... Parfait. *-*
Vive Flying Pumpkin !
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Lun 22 Déc - 15:11

Merci bien, j'ai hâte de le jouer ici ♥
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Anonymous
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Lun 22 Déc - 16:12

han naaaan. toi encore, de retour parmi les lupins. \o/ bienvenue à toi, chuis contente de te retrouver en tous cas
Spoiler:
Invité
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Anonymous
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Lun 22 Déc - 16:15

Que d'amour, dis-moi ! What a Face
Moi aussi je suis contente de te retrouver (en fait je te suis à la trace) et tu vois, je ne mettrai même pas le cœur suivant en spoiler contrairement à toi (avoue, tu as toujours eu honte de dévoiler tes sentiments D8) ♥

Invité
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Anonymous
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Lun 22 Déc - 16:30

Bienvenuuuuue !!!!
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 JAYDEN — do not pity the dead, pity the living [terminée]

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