Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.
Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.
Y'a de ces jours où j'ai envie de me faire des amis. De partir à l'aventure, insouciante, l'esprit libre, à cherche quelqu'un, à sympathiser à défaut de l'attaquer. Et puis y'a aussi ces jours où je m'ennuie bien comme il faut. Là, deux choix ; soit cela me ramène à ma première idée, soit j'improvise. On va dire que là, je suis dans le deuxième cas et que, bien sûr, je vais improviser.
Sous ce soleil étincelant, les Grenats scintillent à chaque pas et font danser sur moi des étincelles rougeâtres. Il est rare que j'éprouve quoi que ce soit pour un endroit hormis la Blessure. Mais je dois bien avouer que cet endroit est enchanteur. Les pierres couleur sang brillent tellement que j'ai envie d'aller en arracher une, de la garder et de m'en faire un porte-bonheur.
Pourquoi pas, après tout ? Qui va m'en blâmer ? Je ne serais sûrement pas le seule à faire ça. Alors que je m'approche d'un bosquet étincelant, un bruit retentit. Un bruissement. Et ce bruit ma ramène à la réalité. Plissant les yeux, je fais volte-face. Au loin, j'aperçois des bosquet, des grottes, des arbres, des tanières. J'aurais dû être plus prudente. N'importe laquelle de ces cachettes abrite peut-être un loup, ou quelconque danger.
Au souvenir du grizzli qui a failli me coûter la vie, je redouble de prudence. Crocs légèrement découverts, les muscles bandés, je fais quelques pas hasardeux. Je sais qu'il y a quelqu'un. L'odeur solitaire m'emplit la truffe. Je n'ai plus qu'à attendre qu'il daigne se montrer.
Invité
Invité
En savoir plus
Ven 24 Oct - 14:57
J'étais parti a la chasse. Je profitait des rayons du soleil qui réchauffait ma fourrure. Puis je me suis relever, me rappelant que je devait chasser. Je me mi en position, les oreilles dresser, cherchant les bruits de pas de mon gibier.
Je finit par trouver un lapin qui grignotait de l'herbe humide. Un vent léger soufflait vers moi, ce qui permis que le lapin ne sentent pas ma présence. Puis je bondit. Ratée! Le lapin me vit et se sauve. Je cours mais il fini par s'échapper pour de bon.
Soudain la brise m'apporte l'odeur d'un loup. Ou plutôt une louve. Je m'approche et je la vit assise, seule. Je me cacha derrière un buisson pour l'espionner. Ratée encore! Elle me regarda et je m'avança a sa rencontre. Inutile de se cacher. Je me place devant elle et je lui demande: - D'où viens-tu? Et qui es-tu?Dis-je d'une voir claire.
La louve était belle: son pelage blanc, ses yeux étincelant... Mais c'est mon territoire, ici. Simple solitaire, je vit ici depuis 1 an et cette louve étrangère ne va pas changer ma vie. Elle est adulte, sa se voit. Mais je crain la bataille. Je me battrais jusqu'à la mort pour rester ici...
Jauges : Force = 5 Agilité = 8 Endurance = 7
Invité
Invité
En savoir plus
Ven 24 Oct - 15:39
C'est une louve. Et elle s'approche. Solitaire. Elle n'est pas très discrète, enfin à mon goût. « D'où viens-tu ? Et qui es-tu ? » Bornée en plus, si elle veut faire sa loi ici.
« Je peux te retourner la question, que je lance d'une voix sèche. » Son odeur est partout, on dirait. Ce doit être "son" territoire. Pff. Comme si ça pouvait m'impressionner. Je la contemple un peu plus en me relevant. Elle est brune, rousse, crème et grise, et a un pelage relativement épais. À première vue, on pourrait la croire costaud, mais non. Elle doit être toute maigrichonne sous ses poils. Enfin, j'imagine tout de même qu'elle n'est pas squelettique...
« On me nomme Rake Maâr. » Bien. Même technique qu'avec Atom. Pour recevoir, faut donner, héhé. Il me tarde d'en connaître plus à son sujet. Elle m'intrigue. Mais bon, ne nous faisons pas d'illusions. Je pense que son air sûr d'elle et de surpuissance m'énerve déjà. Voyons si elle est vraiment aussi bornée que ça.
Spoiler:
N'oublie pas tes jauges ^^
Invité
Invité
En savoir plus
Ven 24 Oct - 15:55
-Je peut te retourner la question, A t'elle dit d'une voie sèche
Franchement, quelle politesse! Elle me parle d'un ton défiant qui m'irrite mais je me ressaisit. Je vais pas montrer a cette louve que j'ai peur. Sa jamais.
-On me nomme Rake Maâr.
Rake Maâr... Quelle drôle de nom. Ce nom fit que renforcé ma peur. D'une voie je lui lance mon nom:
-Moi c'est Hybride. J'espère que tu n'es pas venue chassé chez moi.
Mais soudain, je regretta c'est parole. J'étais encore petite, et elle aurait pu me tuer d'un coup de patte. Je resta silencieuse, attendant sa réponse...Je vit soudain que elle aussi, elle attendait. Alors j'ai compris. Elle a parler de retourner ma question. Je lui lance donc:
-Je viens de loin, et maintenant je vit dans cette prairies. Tu veut peut-être venir voir ma tanière en me tenant la patte?
Et la je me tu. Vraiment. Je baissa les oreille et m'applatis sur le sol. La c'est sur, elle va me tuer...
Invité
Invité
En savoir plus
Sam 25 Oct - 12:49
« Moi c'est Hybride. J'espère que tu n'es pas venue chasser chez moi. » Oh oh, t'inquiètes pas, je m'en fous royalement de chasser. Et puis quoi encore ? De toutes façons, j'attraperais rien d'autre qu'une insolation et des plantes. Je me demande bien comment elle survit.
« Je viens de loin, et maintenant je vis dans cette prairie. Tu veux peut-être venir voir ma tanière en me tenant la patte ? »
Et elle s'aplatit par terre. Je fronce les sourcils et secoue légèrement la tête. Je me mordille les babines, histoire de ne pas me décontenancer. En te tenant la patte ? Alors ok. D'un, c'est impossible, nous sommes des loups. Et de deux... Quoi ? J'en ais rien à faire de toi.
Je l'attrape par la peau du cou et l'oblige à se relever. « Si t'es vraiment aussi idiote que ça, tu vas pas aller loin, que je siffle. Tss. Comme si quelqu'un voulait chasser ici. De toutes manières, je te laisse ton territoire pourri. J'en aurais rien à faire. » Et j'esquisse un mince sourire. Vraiment, elle me fait marrer, à essayer de m'impressionner, puis se soumettre.
Invité
Invité
En savoir plus
Dim 26 Oct - 11:03
J'avais raison. Elle va belle et bien me tuer. Rake Maâr m'attrape par la peau du coup et me force a me relever. Je me laisse faire. Que puis-je faire d'autre? Elle est beaucoup plus forte que moi. Je me suis encore emporté. Et surtout j'ai été vrai-ment idiote. Les loups ne peuvent pas se tenir par la patte. J'aurais du me contrôler mais je suis comme sa. J'y peut rien. Puis un sifflement me sorti de ma rêverie.
- Si t'es vraiment aussi idiote que ça, tu vas pas aller loin, Tss. Comme si quelqu'un voulait chasser ici. De toutes manière, je te laisse ton territoire pourri. J'en aurais rien à faire.
Rien a faire? Je me demande pourquoi elle dit sa. Ce territoire est plein de lapin et si j'ai vraiment trop faim, je peut aller chasser ailleurs. Je lui répond donc:
- Désolé, je m'emporte un peu trop parfois. Sinon j'aurais pas dit autant de truc idiot.
Puis je pense a quelque chose pour me rattraper:
- Si tu veut, je peut te donner quelque chose pour m'excuser. Tu veut un grenat? Si tu veut, tu peut en prendre. Il y en a plein sur mon territoire. Puis je rajoute plus bas:
-Qui ne devrait pas être le mien...
Je n'avais plus qu'a attendre sa réponse.
Invité
Invité
En savoir plus
Dim 26 Oct - 12:17
« Désolée, je m'emporte un peu trop parfois. Sinon j'aurais pas dit autant de truc idiot. » C'est pas une petite excuse ridicule qui va m'aider. C'est pas non plus en reconnaissant que t'as un caractère de merde que tu vas te faire des amis. Elle vit dans le monde des Bisounours ou quoi ? Bien sûr qu'elle a dit des trucs idiots. Mais elle est idiote... Enfin, j'en ai plus que l'impression.
« Si tu veux, je peux te donner quelque chose pour m'excuser. Tu veux un grenat ? Si tu veux, tu peux en prendre. Il y en a plein sur mon territoire. » Cette déclaration confirme mes pensées. Mais à l'évocation de la pierre scintillante, je ne peux m'empêcher de marquer une pause. Mais je finis par secouer la tête. Elle ajoute quelque chose à voix basse qui m'échappe.
« Si j'en avais voulu, je n'aurais pas attendu ton autorisation, Hybride. » Je gratte un instant la terre de ma patte. « Et, jusqu'à nouvel ordre, ce ne sont pas tes terres. Tu permets ? » Et je me frotte longuement à un buisson de grenats à quelques pas de là. Non pas qu'avoir un territoire m'intéresse - j'ai autant de terres que je veux, dans la Horde - mais j'aime la voir me dévisager, incrédule. Elle n'osera jamais me bondir dessus. Pas maintenant, du moins.
Une fois fini, je retourne me poster devant elle. Je lui souris, narquoise, en penchant légèrement la tête. « Ma pauvre choute ! C'est pas tous les jours qu'on te fais ça, hein ? » Un croc saillit sous ma babine. Mes muscles sont déjà bandés, prêts. Reste à savoir ce qu'elle a à me dire, ou ce qu'elle va me faire.
Invité
Invité
En savoir plus
Dim 26 Oct - 14:25
- Si j'en avait voulu, je n'aurais pas attendu ton autorisation, Hybride.
Elle gratta la terre avant de poursuivre:
- Et jusqu'à nouvel ordre, ce ne sont pas tes terres. Tu permets?
Comment elle ose? Ce sont mes terres depuis un an déjà! Mais je n'ai pas le temps de répondre car elle ajoute:
-Ma pauvre choute ! C'est pas tout les jours qu'on te fait sa, hein?
L'à elle me tape sur les nerf! Je répond dans un accès de fureur, toute prudence oublié:
- Je vit ici depuis un an! Alors tu dégages de chez moi et tu viens plus JAMAIS! T'a compris?
Je sort les griffes et lui montre les crocs. Mais je ne lui laisse pas le temps de répondre car je continue:
- Sa te plairais que je vienne chez toi te dire de dégager?
J'allais lui sauter dessus mais je me repris. Il faut mieux attendre sa réponse.
Invité
Invité
En savoir plus
Lun 27 Oct - 20:14
« Je vis ici depuis un an ! Alors tu dégages de chez moi et tu viens plus JAMAIS ! » Un.
« T'as compris ? » Deux.
« Ça te plairais que je vienne chez toi te dire de dégager ? » Trois.
Wow, trois tapages de nerf en moins d'une minute ! Elle bat le record la gamine. Soit elle est totalement inconsciente de qui je suis, de mon âge et de ma force, soit elle a vraiment un grain. « Ahah, je ris. Tu vis ici depuis toujours ? Moi j'te détestes depuis dix minutes à peine. »
Je la sens tressaillir. « Que j'ai compris ? Non... Je suis un peu trop bête pour ça, j'crois. Ah, et, que j'ajoute en y repensant, bien sûr que ça me plairait. J'imagine que ton odorat ô grand si développé ne t'as pas informé qui je suis ? » J'appuie bien sur le ton ironique de la chose, elle est peut-être trop idiote pour comprendre après tout.
Je vois qu'elle bande ses muscles, montre les crocs et s'apprête à me bondir dessus. Bah, tant mieux, il fallait que je me dérouille les muscles et que je fasse de l'exercice. Mais elle n'est pas très assurée la p'tite.
Invité
Invité
En savoir plus
Mar 28 Oct - 10:26
Elle se mit a rire:
-Ahah, tu vis ici depuis toujours? Moi j'te déteste depuis dix minute a peine.
Elle a du me voir tressaillir car elle ajoute d'un ton narquois:
-Que j'ai compris? Non... je suis un peu trop bête pour ça, j'croit. Ah, et, bien sûr que ça me plairait. J'imagine que ton odorat ô grand développé ne t'a pas informé qui je suis?
Je ne suis pas bête, j'ai juste oublier de l'identifier. Je la renifle, toujours muscle bandée, et je cris soudain:
-La horde!
J'eu soudain très peur. Je recula en la regardant. Elle n'avait pas quitté son air moqueur.
- Non, je te donnerais pas mon territoire, hordienne. Je le sait. Tout les hordiens veulent volé les territoires des autres!
Je continua de reculé, puis j'avaça et lui sauta dessus pour lui mordre la nuque, comme si je tuait un lapin.
Invité
Invité
En savoir plus
Mar 28 Oct - 13:03
Je n'ai jamais vu autant de bêtise concentrée dans un seul loup. « La Horde ! » S'écrit-elle après m'avoir reniflé. Je m'approche de quelques pas, menaçante. J'espère qu'elle ne va pas s'enfuir, je ne fais que commencer avec elle. « Non, je te donnerais pas mon territoire, hordienne. Je le sais. Tout les hordiens veulent voler les territoires des autres ! »
Ouh, pas contente la gamine. "Je te donnerais pas mon territoire !" ahah. Baissant légèrement la tête, les crocs montrés davantage, je m'approche encore. « Si ta mémoire te lâche déjà, c'est pas bon, que je dis d'une voix mielleuse. Parce que je t'ai déjà dit que je veux pas de ton territoire pourri. Mais je me ferais une joie de t'en faire déguerpir. »
Je lui grogne dessus, dans un bruit mêlant grognement et rugissement. « Un conseil, petite ; va t'en avant que je m'énerve. » J'imagine qu'elle ne partira pas comme ça. Je bande mes muscles et me tapis plus près du sol. Il m'est inutile de continuer de parler, maintenant. Peut-être qu'elle a quelque chose à rajouter, mais cette rencontre ne peut se terminer que de deux façons.
Invité
Invité
En savoir plus
Mar 28 Oct - 14:43
-Si la mémoire te lâche déjà, c'est pas bon, dit-elle d'une voix mielleuse. Parce que je t'ai déjà dit que je veut pas de ton territoire pourri. Mais je me ferais une joie de t'en faire déguerpir.
Si elle en veut pas, c'est le principale. Mais qu'en serra t'il des autres membres de la Horde? Eux se feraient un plaisir de me volé ce territoire. Puis de toute façon, elle veut que je parte comme même. Et si c'était une ruse pour que je la laisse? Je doit a-bso-lu-ment la faire partir. Si sa se trouve, les autres membre de la Horde sont déjà la, caché, prêt a me bondir dessus. Je doit trouver le moyen de la faire partir avant que je finisse en chair à patté. Soudain j'entendis un grognement qui ressemblait a un grincement de porte:
- Un conseil, petite; va t'en avant que je m'énerve.
Alors déjà de un: elle veut que je dégage sans me battre pour la moindre motte de terre de ce territoire, de deux, elle m'a traité de petite. Elle dépasse les borne. Je ne réfléchis plus. Je bondit, pattes en avant, et lui mordit une patte pour qu'elle regrette ce qu'elle viens de dire. Je hurle:
- Réfléchit mieux la prochaine fois!
Pourtant, la morsure ne lui fit rien. J'enfonça mes dent dans sa patte et multiplie les coup de griffes. Je lâche soudain sa patte.
-Tu veux la guerre? Tu l'auras.
Je me rapprocha et enfonça à nouveau mes dents dans sa pattes et la griffa deux fois plus fort. La bataille ne faisait que commencer...
Invité
Invité
En savoir plus
Mar 28 Oct - 15:07
« Réfléchis mieux la prochaine fois ! » Et elle me bondit dessus, toutes griffes dehors, les crocs en avant, et me mords la patte. La douleur me submerge, mais je tiens bon. Et il n'y a même pas de sang. De toutes manières, je suis guérisseuse, je connais mieux que quiconque la gravité d'une blessure, non ?
Elle multiplie les coups de griffe en voyant que je ne crie pas de douleur ou ne me défends pas. « Tu veux la guerre ? Tu l'auras. » Ce commentaire acerbe me fait revenir à la réalité. Comme elle agrippe à nouveau ma patte avec ses crocs, je me libère de son emprise et lui assène de cette même patte un coup sur la tête. Elle chancelle. Je recule de quelques pas, grogne, et repars à l'attaque. Sois elle m'a esquivé, sois je l'ai raté, car je roule dans la poussière en lâchant un gémissement de surprise.
Je grimace puis me relève d'un geste vif, et par derrière, je lui bondis dessus, et inversant la situation - elle tente à nouveau de m'enfoncer ses crocs dans la patte - je la renverse. Appuyant ma patte désormais en sang sur sa gorge, je grommelle : « Je l'ai déjà. Toujours d'avis de rester ? »
Haletante, la patte en sang et le poil plein de poussière, je prends le temps de me faire une toilette rapide sur le flanc. « Tu m'as salis en plus. Vermine. » Satisfaite, je desserre légèrement la pression de ma patte. Je ne suis pas cruelle tout de même ! Je vais lui laisser encore une chance de se rendre, pauvre petite chose.
Je n'ai pas vraiment envie de la tuer. Mais juste de la faire partir d'ici, histoire d'ajouter ça à mon potentiel CV. Comment ça, je n'en aurais jamais ? Possible. M'enfin, au moins, je pourrais être fière d'avoir fait peur à une petite vermine solitaire, parce que actuellement, je n'ai pas beaucoup beaucoup de choses dont je pourrais me vanter.
Invité
Invité
En savoir plus
Mar 28 Oct - 17:43
Alors que je m'agrippait a sa patte, elle me mit un coup avec sa patte et je recule, étourdit. Je venait de retrouver mes esprits quand elle bondit vers moi. Je roule sur le coté et... sa marche! Elle se retrouve pleine de poussière et je manque d'éclater de rire. Mais elle n'a pas dit son dernier mot. En me retournant, je la voie plus et soudain je sentit une patte sur ma gorge. Pleine de sang, en plus. Le sang coulait sur mon coup mais je n'avait rien. Je tente de la mordre. En vain. Puis elle me souffle:
-Je l'ai déjà. Toujours d'avis de rester?
Elle se lécha la poitrine avant de dire:
-Tu m'as salis en plus. Vermine.
Elle relève un peu sa patte, et j'en profite pour rampé. J'eu soudain une idée. Espérons qu'elle tombe dans ce stratagème...
-Très bien, je part.
Elle me regarda d'abord stupéfaite puis elle souri comme si sa lui plaisait. En même temps, sa lui plaisait. Je m'enfonça puis je pris un chemin secret. J'avançais discrètement puis je l'aperçu. Elle partait. J'allais de plus en plus vite puis, quand je me suis dit que c'était bon, j'ai sauté.Elle en fût très étonné. Surtout quand je la mordit à la nuque. Le sang commençais à couler et je la lâcha. Je ne suis pas cruelle. Je lui dit d'un ton moqueur:
-Tu croyais que j'avais vraiment abbandonné? Tu vois même toi tu en apprend aujourd'hui: il faut toujours se méfier de ce que disent les autres.
Je la regarda, puis j'avança pour tenter de la mettre par terre mais elle m'envoie dans les air et je retombe, assommé. Je commençais à saigné d'une coupure à la patte et j'entrepris de la lécher. Elle revient vers moi et recommence son sourir. Elle ouvrit la bouche pour parler. Ou pour me mordre.
Invité
Invité
En savoir plus
Mar 28 Oct - 18:26
« Très bien, je pars. » Cette déclaration est d'autant plus étonnante qu'idiote. Je sais très bien qu'elle ne va pas quitter son terrain, simplement m'échapper et une fois que je serais partie, revenir. L'envie de lui trancher la gorge me vient, mais trop tard, hélas. Ma stupéfaction m'a tirée hors de la réalité et elle est déjà partie, rampante, vers je-ne-sais-où.
Je grogne tout me léchant ma patte sanguinolente. Bien. Que dois-je faire ? Rentrer ? Pas question... Alors, sourcils froncés, je me mets en tête de la suivre. Mais sa trace est partout, et impossible de déterminer par où elle s'est enfuie. La poussière vole en petits nuages roux sous mes pattes alors que j'avance, museau en l'air. Je lève la tête vers le ciel. Comme l'hiver approche, les jours raccourcissent, et le soir tombe déjà.
Je soupire. C'est inutile de tenter de la retrouver. L'air est frais et ma fourrure me picote déjà, éreintée par des petites bestioles crépusculaires. Je grogne de temps à autres, mécontente d'avoir ratée ma proie. Hybride. L'odeur me vient alors extrêmement proche, comme si elle se tenait, là. Mais attends... Je m'arrête, mais reprends ma marche aussitôt. Une cible mouvante est toujours plus dure à toucher qu'une immobile. Et je sais qu'elle est là, planquée je-ne-sais-où. Un bruit de cavalcade me parvient, mais bien trop tard.
Hybride m'a déjà sautée dessus, m'arrachant un cri de surprise. Je sens ses crocs me percer la nuque. Je rugis. Elle me lâche et je m'ébroue, lui adressant un regard de haine. Le sang me brouille la vue. Je m'essuie d'un revers de patte. « Tu croyais que j'avais vraiment abandonné ? Tu vois, même toi tu en apprends aujourd'hui : il faut toujours se méfier de ce que disent les autres. »
Non ? Sans déconner ! Elle tente de m'approcher, mais la rage me fait l'attraper par l'échine et, puisant des forces de ma mâchoire, je l'envoie valser dans les airs. Je me remets aussitôt en position d'attaque/défense et me précipite sur elle. Ma patte bouge d'elle-même et lui lacère le ventre. Une longue trace rouge apparaît aussitôt et je souris, non mécontente de moi.
« Et toi, tu crois quoi ? Que je grommelle d'une voix semi-amusée. Ralàlà, il faut différencier laisser filer et s'enfuir, vermine. » Elle est sur le dos. J'appuie de nouveau ma patte contre sa gorge, mais bien plus fort cette-fois ci. Je ris d'un rire tellement démoniaque. « Toujours envie de rester ? Que je crache. Vraiment ? »
C'est sa dernière chance de partir, et là, soit elle part de la prairie, soit elle part du monde définitivement.
Invité
Invité
En savoir plus
Mer 29 Oct - 10:47
Elle m'observait. Mais, au lieux de me mordre, elle me griffa! Je cru un instant que j'étais morte. Mais non. Quand je rouvrit les yeux, je sentit ses grosses pattes ce posé a nouveau sur ma gorge, mais elle appuyais plus fort cette fois. Je pensait vomir tout mon sang, mais au lieu de ça, je pensa faire une autre ruse. La première ayant marché, elle fera attention mais a quoi bon? J'allais lui dire de partir si elle me lâchait mais elle prit la parole avant moi:
- Et toi, tu croit quoi? Ralâlâ, il faut différencier laisser filer et s'enfuir, vermine.
Je sais différencier les deux, bien sûr. Elle continue cette fois en grognant:
- Toujours envie de rester? Vraiment?
Oui, envie de rester. J'oublie la ruse un instant pour lui dire:
- Oui, toujours envie. Ou non. Ou peut-être oui. A moins que non.
Elle me dévisagea, ne pensant même pas que je faisait sa pour l'énervé.
- Et c'est qui la vermine? Moi? Toi?
Elle continua de me dévisager, de plus en plus en colère.
- Puis c'est toi qui va me laisser filer. Ou moi qui m'échappe. A moins que je change de territoire. Ou pas.
Elle était a présent en "très grande" colère. Je me libéra pour lui tourna autour, dans l'idée de la rendre folle. Mais se laisseras t-elle avoir? Je fit mine a plusieurs moment de lui sauter dessus avec la gueule ouverte. Elle commençais a se perdre mais elle grognait furieusement. Allait t-elle me sauter dessus? Reste a le savoir.
Invité
Invité
En savoir plus
Mer 29 Oct - 13:26
La jeune louve demeure hébétée sous ma patte. Elle réfléchit. Elle perd son temps, si elle cherche une ruse, parce qu'il n'y a pas de négociation possible. « Oui, toujours envie. Ou non. Ou peut-être oui. À moins que non. » Je grogne et appuie d'autant plus ma patte sur sa gorge. Je me retiens de lui lancer une remarque acerbe.
« Et c'est qui la vermine ? Moi ? Toi ? » Toi. Ne cherche pas à me renvoyer la balle, espèce de chose. Je le dévisage, quelque peu étonnée par sa détermination. Elle ne tient pas à quitter cet endroit, on dirait. Alors ce sera d'autant plus savoureux de la chasser. « Puis c'est toi qui va me laisser filer. Ou moi qui m'échappe. A moins que je change de territoire. Ou pas. »
Je grogne et serre les crocs. Ma patte est tellement appuyée sur sa gorge que je me demande pourquoi elle n'est toujours pas morte étouffée. Et puis, aussitôt, sa remarque m'énerve au plus haut point et je lui décoche une gifle griffue sur la joue. « Si tu crois vraiment que je vais te laisser partir une seconde fois, que je grogne, tu te fous la patte dans l'œil. » Je sais, c'est pas ça l'expression, mais il faut bien adapter... « Tu es encore plus idiote que je le croyais, Hybride. »
Je cille. « Lève-toi. » Sans même attendre qu'elle obéisse, je l'attrape par la peau du cou, la mord à plusieurs reprises et l'entraîne plus loin. Je la balance dans un buisson de grenats piquants. Elle gémit et je le reprends par la nuque. Et l'entraîne encore plus loin. Nous avons quitté sa parcelle de territoire depuis un bon moment déjà lorsque je la lâche violemment au sol.
Les Grenats sont présents, mais il y en a bien moins. L’atmosphère est bien moins enchanteresse. Quel dommage. Je m'approche d'Hybride et la fais reculer dos à un buissons énorme. Aucun moyen de s'échapper pour elle. Se dessine sur ma face un sourire diabolique. Et puis on va improviser un peu, non ? J'en ai marre de tourner en rond, et je commence à avoir faim.
« C'est un bel endroit pour une exécution, non ? À moins que je te vois partir loin sous mes yeux. » Il y aurait bien un moyen. Ce serait de l'escorter loin d'ici, sur le retour de la Horde, afin de la perdre et qu'elle n'arrive pas à retrouver son chemin du tout. Je lèche le sang sur mon poitrail et mes flancs, pensive - mais concentrée sur la vermine.
Invité
Invité
En savoir plus
Mer 12 Nov - 14:53
-Si tu crois vraiment que je vais te laisser partir une seconde fois, grogna t-elle, tu te fous la patte dans l'œil.
Comme si un loup allait levé sa patte pour l'enfoncé dans l'œil! Moi, je le ferrait jamais. En plus, elle me gifle la joue en sortant les griffes.
-Tu es encore plus idiote que je le croyais, Hybride.
"Je suis pas idiote" que je me retient de lancer. "Juste énervé au point que je pourrait te tuer." J'imaginais une réponse pour la décourager quand elle m'ordonne de me levé. Soit elle est aveugle, ou soit elle est idiote car je suis déjà debout. Mais elle me pris dans les crocs en serrant fort au point qu'elle m'étouffa. A plusieurs moment, elle me lâcha mais elle me repris aussitôt. Elle fini par me posé devant un buisson, et j'étais coincé. Elle ricana:
-C'est un bel endroit pour une exécution, non ? À moins que je te vois partir loin sous mes yeux.
C'est ce quelle va voir! Tu pars et gna gna gna.... Elle croit vraiment que le monde lui appartient, celle là.
-Tu peux toujours rêver! Je part pas et toi part contre, tu dégages.
Soudain, je me rendit compte que ce que je viens de dire n'a aucun sens. On est plus sur mon territoire et elle fait ce quelle veut du coup. "Sale louve, tu m'a eu mais le prochain coup, je t'aurais."
- Finalement, oublie ce que je viens de dire et oublie aussi ce que toi tu a dit, la on est sur le territoire de personne.
Je me retient de lui sauter a la gorge. Mes blessures sont profonde et je me retourne. Une idée me fait décrocher un sourire, et je fit comme si je la craignait.
-Mais s'il te plait, me fait aucun mal. Je part finalement mais laisse moi partir au lieu de.... me barrer la route.
Invité
Invité
En savoir plus
Mer 12 Nov - 15:22
« Tu peux toujours rêver ! Je pars pas et toi par contre, tu dégages. » Qu'elle est ridicule, si elle pense m'impressionner. Et puis, nous tournons en rond. Je fais mine de bâiller.
« Finalement, oublie ce que je viens de dire et oublie aussi ce que toi tu as dis, là on est sur le territoire de personne. » Cette remarque me surprends, puis m'énerve. C'est une piètre tentative, Hybride. J'ouvre la bouche pour rétorquer mais elle reprends d'une voix plaintive. « Mais s'il te plaît, me fais aucun mal. Je pars finalement mais laisse moi partir au lieu de... me barrer la route. »
Pauvre petite ! Je grogne faiblement. Sans savoir pourquoi, j'ai envie de lui hurler que nous tournons en rond, mais ça me dénigrerait plus qu'autre chose. Alors que faire ? J'en ai sérieusement assez de cette gamine qui se prend pour le centre du monde et qui se croit maline. J'aimerais tellement la faire dégager de ces terres, lui donner une bonne leçon, mais j'en ai assez. Je suis blessée, fatiguée, et ennuyée. Et puis j'ai faim.
Je soupire, baisse la tête, cille, soupire à nouveau et relève la tête. Je plonge mon regard dans celui d'Hybride, et, sans la quitter des yeux, je grogne : « J'en ai sérieusement marre de toi. Mais t'avises plus de croiser ma route. » Je grogne, agacée qu'elle ait eu le fin mot de l'histoire.
Plissant les yeux, je fais mine de m'en aller, mais me retourne finalement et lui souffle d'une voix caverneuse : « Tâche de rester en vie, j'aimerais avoir le plaisir de te tuer moi-même. » Et je lui assène un puissant coup sur la tête. Elle n'en mourra pas, mais ne sera pas en mesure de me sauter dessus, au moins. Ses yeux me fixent tandis que je m'éloigne, lançant un regard par-dessus mon épaule.
« Bye. » Et je m'en vais, foulant la terre de la prairie de grenats du bout des pattes, laissant mon pelage onduler dans ma course. Je ralentis près d'un buisson de grenats, arrache une pierre rouge qui brille sous le soleil couchant. L'arôme de verre et tiède de la pierre m'emplit la gueule, mes crocs crissent sur la surface rouge tandis que je m'élance à nouveau. Et je quitte finalement la prairie en passant la frontière, ce souligné par la pierre rougeâtre qui émet une étincelle.
Tu peux terminer. :3
Invité
Invité
En savoir plus
Mer 12 Nov - 15:52
-J'en ai sérieusement marre de toi. Mais t'avises plus de croiser ma route.
Elle s'en va? Sa y est, c'est fini? Encore loin d'y croire, je retrousse mes babines, prête a mordre au cas ou elle me tendait un stratagème. Mais je devait y croire. Je lui accorda un regard pour lui demander explication. Comme si elle avais entendu la question dans ma tête, elle poursuit:
- Tâche de rester en vie, j'aimerais avoir le plaisir de te tuer moi-même.
En vie? Elle renonce pas finalement. Mais je compris que j'avais tors en l'entendant souffler son dernier mot:
-Bye.
Mais, avant de partir, elle posa sa patte sur ma tête en appuyant fort et elle s'en alla. Je décida de la suivre pour être sur quelle parte. Je la vit cueillir un grenat et elle sorti de la limite que j'avais marqué. Je décida de finir cette journée en m'allongeant au milieu des grenats étincelants et je m'endormis après cette prière:
- Dieux des loups, merci de m'avoir sauvé de cette louve blanche qui voulais me tuer ou me faire dégager d'ici. J'aurais pu être morte a cette heure et je souhaite de tout mon coeur vous remercier de m'avoir sauvé.