En savoir plus | Dim 19 Oct - 10:50 | |
| NOM : Thorne AGE : Une année SEXE : Féminin MEUTE : Sekmet RANG : Apprentie guerrière AUTRES INFORMATIONS : Ses yeux sont anormaux, d’un vert frappant, au-delà du réel. Il s’agit d’un problème génétique venant de sa mère qui avait la même couleur d’yeux, on n’en sait pas plus.
JAUGE : Répartissez 20 points entre les jauges (Pour PV, reprendre les infos de la fiche) Force : 5 Agilité : 10 Endurance : 5
CARACTÈRE : Tu manipules ? Tu deviendras une proie.
Jeune certes, mais tout ce qu’il y a de plus vicieux. Vive et intelligente, elle est loin de rentrer dans le jeu de quelqu’un qui veut la nuire. Plus que ça, c’est elle qui va l’embobiner en retour, déterminée à arriver à ses fins quelques soit les moyens, une grande qualité : elle n’abandonne jamais.
Tu domines ? Tu deviendras un esclave.
Elle n’aime pas, que dis-je, elle déteste les loups trop sûrs d’eux. Les loups qui se croient au-dessus des autres parce que corps puissant, crocs puissants, muscles puissants les habitent. Ne dis-ton pas que l’habit de ne fait pas le moine ? Pour Thorne c’est le cas.
Tu méprises ? Apprends le respect.
Elle aime plaire, c’est bien connu, elle aime imposer la terreur et qu’on considère avec étonnement, que cette gringalette de seulement douze mois puisse être aussi sûre et mâture qu’un adulte. Elle tient souvent des discours qui ne devraient pas sortir de la gueule d’une si jeune louve.
Tu veux vivre ? Meurs en silence.
Elle voue une haine profonde envers les humains, les exterminés est actuellement son unique but dans la vie et rien ne pourra la faire reculer de son objectif, rien ni personne. Elle n’hésitera pas à se battre jusqu’à la mort si on l’en empêche. Elle tient un courage qui frise souvent l’inconscience, elle dit tout ce qu’elle pense, peu lui importe les conséquences. Grande gueule et fière de l’être, elle est cependant très obéissante envers un supérieur, bien qu’elle est eu quelques altercations par le passé. Mais elle ne va rendre la vie impossible à son futur mentor, si elle juge que celui-ci lui est utile elle obéira à ses ordres sans brancher.
PHYSIQUE : C’est une grande meute. Une dizaine de loups, vont et viennent par-ci par-là, sans but précis. Juste pour se dégourdir les pattes ou chercher un coin d’ombre pour combattre la chaleur mordante qui s’est installée depuis plusieurs jours. Au cœur de cette meute, six loups actifs se chamaillent, se coursent sous le regard attendri des autres lupins. Les louveteaux sont l’avenir de la meute, ils viennent de fêter leur première année et sont en pleine forme. Ses six louveteaux so … non que dis-je ! Il n’y en a pas six, mais sept. Sauf que le septième s’est confondu dans la masse des adultes, c’est une louve d’une robe noire comme l’ébène, personne ne l’a remarqué jusqu’à présent, mais maintenant tous les regards se sont tournés juste vers elle. Elle parle avec un adulte, plus que ça elle lui tient un discours, qui font hérissés les poils de certains. D’autres font mines de ne pas l’entendre. Son interlocuteur semble gêné, pourtant cette louve ne paye pas mine. Petite et maigre, il semble qu’elle va se dissoudre sur place, une épaisse touffe de poil couronne son cou, lui donnant l’air d’avoir une crinière. Laide ? Au contraire, c’est une très belle louve ! Le plus impressionnant sur son visage se sont ses yeux, deux émeraudes d’un vert qui défi toutes les lois de la nature. Un regard hypnotisant, difficile de s’en détacher. Pourtant, même avec un tel regard, elle arrive quand même à passer inaperçue.
HISTOIRE : Mon histoire, ou plutôt mon enfance ne résume qu’à deux choses : La meute et les nourrices. Oui cela peut paraître stupide, amusant, mais c’est la vérité. Je suis née dans une meute bien loin des terres où je viens d’arriver, une meute fière, la meilleure sans doute, composée d’une vingtaine d’adultes et de sept louveteaux. J’étais la seule des louveteaux à ne pas avoir de parents, ils m’ont abandonné alors que je n’avais qu’un mois, du moins d’après les dire de la meute. Mais je savais qu’ils me cachaient la vérité, était-elle plus horrible au point de me raconter que mes parents ont osé abandonner leur propre fille ? Je ne crois pas non. J’ai alors été prise en charge par les nourrices.
A l’âge de mes quatre mois, j’en avais absolument marre que l’on continue à me mentir. Eh les gens ! Ce n’est pas parce que je suis haute comme trois pommes que c’est écrit « imbécile » sur mon front ! J’ai donc décidé de parler au Sage. Le Sage, c’est un vieux loup en décomposition qui passe sa journée couché sur un rocher qui semble aussi vieux que lui, ça ne m’étonnerait pas un jour de voir pousser des mauvaises herbes sur sa fourrure, tellement il a pris racine dessus. Cependant, il est très respecté par la meute, car il a vécu plus d’histoires que l’on peut vivre dans une vie, et connaît plus d’histoires que sa propre vie. Je me dandine jusqu’au rocher, pour moi c’était comme gravir une montagne, je voyais le Sage couché en haut comme à son habitude. Je décidais de rester à terre.
« Sage ! Je veux savoir ce qui est arrivé à mes parents ! J’exige des réponses ! »
Personne n’a encore parlé au Sage de cette façon, personne ne lui avait jamais donné d’ordre mais je m’en fichais. J’en avais marre de passer pour un louveteau innocent, à qui on peut gober n’importe quoi.
Le sage se leva, quitta son piédestal et se plaça devant moi. Il avait l’air d’un colosse, pourtant je ne cillais pas, continuant à le défier du regard. Le sien était gris, vide, plus aucune étincelle de vie y habitait.
« Ils sont morts Thorny … »
Même si je m’attendais à cette réponse, elle me fit le même effet qu’un coup de croc. Je sentis des picotements sur mes yeux, mais je ravalais mes larmes. Je m’étais juré de ne jamais pleurer. Je continuais à fixer le Sage, je ne réagis même pas lorsqu’il m’appela pas ce surnom que je détestais.
« Que leur est-il arrivé ? Qui sont les loups qui ont osé leur faire du mal ? Je vais leur faire regretter leur naissance. »
Oui, j’avais bien quatre mois quand j’ai dit ces paroles. Le Sage lui-même semblait étonné de voir autant de détermination en moi, pourtant j’étais sérieuse : quoiqu’il leur soit arrivé j’étais prête à les venger. Il ne me répondit pas tout de suite, mesurant sans doute ses paroles, mais quand il se lança je cru qu’il n’allait jamais s’arrêter.
« Il y a plusieurs mois, nous vivions sur une terre encore plus grande et plus fertile que celle-ci. Notre territoire s’étendait à des kilomètres, aucun loup n’osait se mesurer à nous, nous vivions heureux et sainement. Mais un jour, un de nos loups était parti chasser et n’était pas revenu, c’était une jeune recrue, aussi dans la soirée nous envoyâmes des éclaireurs à sa recherche. Ils l’ont retrouvé au petit matin : mort noyé dans un ruisseau. Ses pattes avaient été ligotées de façon à ce qu’il ne puisse pas remonter à la surface. Nous comprîmes alors que c’était l’œuvre des hommes. »
« Qu’est-ce que c’est que des hommes ? » lui avais-je demandé
« Ce sont des bipèdes, ils ont assez de muscles pour se tenir sur deux pattes, pourtant la nature les a fait lourds, lents et patauds. Mais ils sont très intelligents, et ils se sont créés leurs propre armes pour compenser leurs défauts. Des cracheurs de feu, ou encore des serres coupantes et aussi et surtout, des pièges. Ces pièges servaient à chasser nos proies, ils les installaient sur nos terres, sur notre territoire. Plusieurs de nos loups, la majorité, voulaient se battre corps et âme contre les hommes. Mais notre Alpha refusa strictement, il craignait le pire, si les choses ne s’arrangeaient pas nous devions fuir. Nous envoyions des éclaireurs surveiller les hommes. Encore un défaut de ceux-ci, ils ne sont pas discrets, au contraire, on les entend et on les voie à trois kilomètres à la ronde, leur comportement faisait fuir la moitié des bêtes de la forêt. Les éclaireurs nous rapportaient de mauvaises nouvelles, au début ils étaient deux bipèdes et de deux ils sont passés à cinq, puis de cinq à dix et de dix à quinze. Nous avons compris que dorénavant leur proie, c’était nous. Nous étions leur cible, ils nous traquaient. Cela fit exploser notre colère, Nos ordonnions à notre Alpha de les attaquer, de nous battre mais il refusa. Il ordonna la fuite le lendemain, à ses yeux c’était beaucoup trop risqué. Certains loups acceptèrent, mais la majorité préférait se battre. Parmi eux, il y avait tes parents Thorny … ton père était le meilleur ami de notre Alpha. Ils s’entendaient comme deux frères et étaient toujours d’accord. Mais pas cette fois-ci. Ta mère quant à elle, notre Alpha aurait fait n’importe quoi pour la protéger, crois-moi. La bataille se déroula le soir, ce fût un véritable carnage. Sept loups sont morts pour seulement trois vies humaines. Ton père était vaillant et courageux, mais aussi inconscient. Il en a payé les frais. Le soir du combat, tu avais tout juste un mois, ta mère aurais dû rester à tes côtés, mais jamais elle n’aurait pu laisser ton père agir seul. Elle t’a donc confié à une nourrice. Nous n’avons pas retrouvé son corps, nous en avons déduit qu’elle a été capturé. J’imagine qu’ils l’ont épargné à cause de la couleur si rare de ses yeux. Après cela, nous sommes partis pour nous installer ici. »
La confession du Sage me laissa sans voix un moment. Quand je repris la parole, ce fût toute la haine du monde qui y vibra.
« Eh vous … Vous avez préféré fuir au lieu de combattre … Mes parents se sont sacrifiés pour la meute et vous avez préféré … fuir. »
Il ne rouspéta pas.
« Vous êtes tous des ordures. Des lâches comme les hommes. »
Sur ces mots je quittai le vieux.
Depuis ce jour, je décidai de rendre la vie impossible à la meute. Ça marchait bien, les nourrices ne pouvaient plus me cadrer, plusieurs fois je fus en altercation avec notre Alpha. Il n’osait jamais croiser mon regard, sans doute lui rappelai-je ma mère. Il me détestait, ou plutôt, il se sentait si coupable qu’il ne pouvait supporter de voir mes deux parents se refléter en moi. Je ne comptais pas l’aider, qu’il vive avec leur mort sur sa conscience, il ne méritait que ça.
Le soir de notre première année de vie (la mienne et celle des autres louveteaux), je décidai de prendre la fuite, de quitter la meute, de toute façon plus aucun loup ne me supportait. Tous ne rêvaient que de me voir partir. Je partis donc sans aucune discrétion, j’ai bien vu des oreilles frémir et des yeux s’ouvrir, aucun loup ne donna l’alerte comme quoi un des louveteaux s’échappait. Tous feignaient de ne pas m’entendre ni me voir. Le seul qui esquissa un geste fut le Sage, ses yeux gris brillaient dans l’obscurité. Il m’adressa un simple hochement de tête, je ne lui avais plus jamais adressé la parole depuis notre dernière entrevue.
Je m’enfuis dans la nuit noire, quittant le territoire de ma meute. M’exposant aux dangers de la forêt. Je courrais jusqu’à ce que mes coussinets me brûlent, jusqu’à ce que mon ventre crie famine. Je n’étais pas spécialement douée en chasse de gros gibiers, mais mon agilité hors norme me permit de déguster plusieurs lièvres durant les jours de ma cavale.
Enfin j’arrivais à ce que je considérais comme ma destination. Plus rien n’était vert dans cet endroit, tout était mort, infecté, malade. L’odeur puissante de meutes de loups m’enivra les narines. Oui, c’est ici que je dois rester. Il ne me reste plus qu’à me faire accepter par une meute et aussi et surtout que l’on me forme en tant que guerrière. Plus qu’une guerrière, une tueuse. Tel était mon destin.
MON PARRAIN / MA MARRAINE : Nobody. Je suis le Dc d’Anathos le Bisounours :face :
HS : Je cherche un/une Mentor qui puisse dresser mon fauve o/. Je pensais faire la suite de mon histoire dans un RP avec le/la futur(e) Mentor, comme quoi il m’invitait dans sa meute et prenait en charge ma formation :3. Comme ma louve a un fort caractère je cherche quelqu’un du même tempérament qu’elle. Sinon il ne tiendra pas deux jours x) un vrai et pur Sekmet quoi o/.
|
|
En savoir plus | Dim 19 Oct - 16:46 | |
| (C'est bien les méchants, tu rejoins le clan des forts mouhahaha !) Aww ♥ C'est super génial, je vais avoir un apprenti que j'adore déjà :3 Et bien, on commence un RP quand tu veux, j'ai plus de temps pendant les vacances (: Tu veux le commencer ou je le fais ? Et contente que le nom de lune te plaise |
|