«Chasse»

F: 58 - A: 55 - E: 56

Xyrion courre pour allez chasser.

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«Chasse»

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Xyrion attrape trois chats et les ramène au garde manger.

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Xyrion courre pour allez chasser.

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Xyrion courre pour allez chasser.

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Xyrion courre pour allez chasser.

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Xyrion courre pour allez chasser.

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Xyrion courre pour allez chasser.

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«Chasse»

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Son regard affuté avait depuis quelques minutes remarqués l'animal qui se dandinait fièrement devant lui. D'un bond, il se mit en chasse, coursant le volatile qui tentait tant bien que mal de s'envoler. Il bondit sur lui, le balança à terre, et en fit rapidement son affaire. Balançant l'animal dans un véhicule mort, Xyrion se remit en chasse. Quoique, non. Il s'arrêta, s'allongea et s'endormit. Après une petite sieste requiquante, l'esobek se releva. Sa tête lui tournait un peu, et il ne reconnut d'abord pas l'endroit. Jusqu'à ce que le vent fasse bouger quelques caillasses. Un sourire béat s'étira sur son museau, et un gloussement lui échappa. Il s'ébroua prestement, et sauta directement dans le tas de feuilles, roulant à terre pour tenter d'en attraper le maximum entre ses crocs. Son rire fusa, et il continua de se contorsionner dans tous les sens.

Il se redressa d'un bond, louchant sur une feuille pendante sur le bout de son museau, avant de secouer sa grosse tête pour la faire tomber. Voilà de quoi l'amuser. Xyrion fit un pas en avant, puis un autre, et s'élança à travers la forêt, prenant le maximum de vitesse avant de prendre un virage en épingle, glissant pour tomber à terre.
Soudain, un mouvement à sa droite attira son regard. Quelque chose se mouvait à une vitesse incroyable. Xyrion coucha le devant de son corps contre le sol, et il bondit sur la chose. Celle-ci, couleur sable, fila entre ses pattes, lui faisant échapper un grognement de frustration. L'espion se redressa et s'ébroua, avant de partir à la suite de la chose.
Il rampa à terre, se glissant sous un tronc où il faillit bien rester coincé. Claquant des crocs, alors qu'une touffe de poils s'arrachait à son pelage, l'esobek reprit sa course. La bestiole avait disparu.

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«Chasse»

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Le rouquin frissonna. Il n'aimait pas cet endroit, mais était convaincu que monter au sommet de cette colline l'avancerait à quelque chose.
D'un bond, il sauta sur un tronc mort, avant de viser le prochain.
Il se mit à courir, s'enfonçant profondément alors dans la forêt. Soudain, il déboucha sur un nouveau terrain, sillonné de sentiers battus. Les veines qui sillonnaient le sol le firent sourire, et sans comprendre ce que son corps lui faisaient faire, l'espion s'élança.
Son sang ne fit qu'un tour, seuls agissaient les muscles de son corps, la puissance de ses mouvements et la vivacité de ses sens. Il sautait par-dessus les tranchées, comme pour éviter des jets brûlants.

Il atterrit de l'autre côté, ne songeant plus qu'à ce feu plus chaud que le feu qui sillonnait ses membres de bout à bout. Un saut, un autre, et encore et encore, il évitait sans relâche les tranchées creuses.
Mépris de l'Aigle commença à bondir par-dessus des troncs morts, martelant le sol de coups brutaux de pattes, n'arrêtant son ascension sous aucun prétexte. Il glissa. Chuta. Et se rattrapa contre un arbre, avant d'allez attraper quatre serpents.

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