Souffle acide du vent, larmes brulantes du ciel. Le monde ne ressemble plus aux paysages d'autrefois. Les cataclysmes ont frappé, des colonnes de flammes et de fumées se sont élevées sur l'horizon. La guerre. La guerre des hommes. Et nous, les loups n'avons eu d'autres choix que de fuir. Nombreux furent nos congénères emportés. Nous traversâmes les plaines cabossées, les forêts de cendres, poursuivis par la faim, traqués par la mort.

Notre salut, nous le devions malheureusement à ceux qui avaient provoqué notre malheur.


 
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 In the cabin (Défis)

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Mar 29 Mar - 0:20

In the cabin
Abysse Δ



Force : 22 | Agilité : 28 | Endurance : 27

Allongé sur le sol dans la tanière de Kobalt, la louve dort mal. Très mal ses derniers temps, les pattes bougeant dans tout les sens, quelques couinements s'échappe d'entre ses babines, elle grogne également. Ses nuits dernières, puis sans doute les nuits prochaines sont terriblement fatigantes, horriblement difficile pour elle, elle transpire, bouge dans tout les sens. Oui vraiment, la louve n'est pas dans des états d'esprits tranquille ses derniers jours, même le loup noir avec qui elle passe ses journées ne sont plus aussi vivace, elle reste seule. Elle reste renfermé dans ses états, ne voulant blesser personnes, elle s'éloigne dans sa tristesse mais alors qu'elle commençait à croire que ses nuits pourraient devenir plus tranquille, après une petite discussion avec Kobalt, non elle s'était complètement tromper...

Car cette nuit là, allongé au sol dans la poussière a l'abri des pierres de la petite grotte, elle continue de faire ses terrible cauchemars. Des rêves de plus en plus étranges. Plongeant dans un trou complètement noir, la femelle solitaire n'arrive pas à rouvrir ses yeux. Ils semblent attaché l'un à l'autre, un mal de crâne, ainsi qu'un mal de ventre la prenne durement. Tremblant de douleur, elle sent une drôle de sensation sous ses épaisses griffe de prédateurs. Un bois abîmé, un bois craquant et non naturelle... Enfin, se n'est pas l'écorce des arbres. C'est un peu plus humains... Prise soudainement d'une panique, son cœur se mets a battre très violemment dans sa poitrine, ses paupières finissent par se rouvrir violemment. Se levant sur le haut de ses pattes elle tente un bond en avant, mais elle ressent un étranglement au cou et tombe au sol durement sentant ses muscles s'endolorir sous la chute assez brusque.

Elle grogne, gronde de douleur relevant la tête légèrement secouant sa tête pour faire sortir la poussière de ses poils noirs, regardant autour d'elle, elle tire de nouveau faisant résonné un son métallique. Cherchant la provenance, elle aperçoit une petite chaîne brillante encerclant son cou, l'étranglant au moindre mouvement brusque. Prise d'une panique sans nom, la jeune louve tente de se secouer, faisant résonné le bruit partout dans la pièce. Relevant sa tête, elle constate qu'elle se trouve dans une... Drôle de cabane. Alors que les murs semblent assombrit, ils prennent tous de la couleur faisant apparaître en hauteur des nombreux pièges, elle recule tapant sa queue et ses pattes sur le mur derrière elle. Couinant de panique, elle regardant de partout n'y comprenant rien. Pourquoi est-ce qu'elle se retrouvait ici ? Pourquoi était-elle dans l'abri d'un bipède de malheur ? Ses muscles tremblants n'osaient plus faire un seul geste.

Non elle devait par n'importe quel moyen se reprendre l'esprit et trouver une faille dans son cauchemar qui semblait si réel, au point de la faire paniquer dans le monde réel. Et avec cette chaîne autour du cou, elle semble également suffoqué dans le véritables monde. Essayant une nouvelle fois de tirer dessus, cela ne servait strictement à rien car elle se resserrait autour de sa orge, lui lacérant même la peau. Mais la femelle se fichait de la douleur, elle voulait se libéré de cette emprise. De ce cauchemar, de cette prison également. La seconde idée qui lui vint en tête était de hurler de l'aide, mais ça n'étonnerait pas la jeune louve qu'un traqueur soit dans le coin. Ses griffes vinrent gratter le sol durement, puis elle tourna sa tête vers l'attache de la chaîne qui se trouver au sol. Pouvait elle essayer de s'en défaire en creusant ? Non impossible. Le bois était trop solide et elle manquerait même de les cassés.

Grondant une fois encore, bien plus fort. Le tir d'un homme se fit entendre, la faisant sursauter, ses poils la faisant tressaillir d'horreur. Le plancher craqueler, l'homme était entrain d'arrivée. Il lui fallait alors faire preuve de ruse. S'allongeant sur le sol, sur le côté. Les yeux presque clos, la bouche quelques peu entrouverte. Effrayé par la suite des événements, elle était son ultime solution pour se sortir de l'endroit. Le bipède fit fracasser la porte d'un coup très violent sur le côté, mais elle devait s'empêcher de montré la moindre expression sur son visage ou son corps. Un chien entra également dans la pièce, s'approchant dangereusement prêt de la louve allongé, vint la sentir tout en grognant, approchant ses dents prêt du visage de la jeune louve.

Elle déglutit silencieusement a la fois apeurée et furieuse d'avoir un animal aussi répugnant proche d'elle, ayant qu'une envie l'égorger. Mais heureusement l'homme approcha éloignant son animal de compagnie de la bête sauvage la surnommée t-il. Attrapant son espèce de corde métallique, le retirant de l'embout rond, venant donc la tirer violemment, l'étranglant encore plus. Cette dernière se releva d'un bond sur ses quatre pattes ses crocs venant se planter douloureusement dans le mollet de l'humain, n'hésitant pas une seule seconde à lui déchiqueter la chair. Il hurla alors à la mort, endoloris. Elle qui pensait se sortir d'affaire facilement, elle en avait presque oublier l'autre espèce répugnant qui vint sauter sur le dos du lupin qui a son tour sortit plusieurs plaintes de douleur. Se retournant pour venir mettre un coup de croc au canin, ce dernier fut attraper à' l'oreille droite qu'elle vint secouer tel un vulgaire morceau de viande immonde.

Il couinait de douleur pendant que son maître rouler par terre. Profitant de ce moment, elle lâcha l'animal pour sauter par-dessus l'homme et courir en direction de la sortie, la porte étant fermé, elle sauta sur le mur prenant appuie avant de nouveau sauter sur le morceau de bois qui s'écroula sous sa force. Mais elle fut une fois de plus étranglés, l'homme venait d'attraper la chaîne métallique qui le fit basculer au sol, son dos claquant sur le sol poussiéreux.. Couinant de douleur, elle tenta de se relever, ses pattes emmêler dans les chaînes, tout était compliqué pour la petite louve qui ne trouvait pas le moyen de se sortir de là. Toussant à plusieurs reprises, étouffé, son souffle était entrain de se saccader, son cœur accéléra violemment. Elle avait tellement mal, tout son corps était terriblement endoloris par les événements et l'étranglement n'arranger rien à son état. Abysse était sur le point de rendre son dernier souffle, elle avait envie de mourir et de s'abandonner à toutes ses souffrances...

Ses yeux se rouvrir dans la tanière de Kobalt, sursautant, le corps tremblant et en sueur, ses yeux humides des larmes qui avaient couler sans le vouloir. Oui elle avait été complètement effrayer,. Son regard chercha un point de lumière afin de la rassurer et son regard vert croisa celui de la lueur du jour qui se lever doucement...
© GASMASK

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