Le plus important , c'était le gibier ; les proies étaient enfin de retour , et en bon nombre. Ainsi , j'avais décidé de partir en chasse ce matin là. Comme j'aimais chasser en toute tranquillité , dans des endroits peu fréquentés , je choisis la forêt de la perdition. D'un pas souple et rapide , je m'enfonça dans la fameuse forêt. Tout était très calme dans les environs , même les oiseaux s'étaient tus , on pouvait tout juste entendre les murmures à peine audible des arbres. Déterminée , je continua mes recherches , essayant de trouver la moindre petite trace d'un troupeau. Enfin , j'aperçus plusieurs arbres portant des marques. Je m'approcha d'un grand chêne. J'en déduis rapidement qu'un jeune cerf avait frotté ces bois sur le tronc de l'arbre. Je jeta ensuite un coup d'oeil au sol. Un sourire dicret apparut sur mes lèvres quand j'aperçus les nombreuses empreintes dans la boue , et elles étaient encore fraiches. Je m'élanca , suivant les traces de pas. Une odeur familière me chatouilla les narines , me confirmant que je suivais la bonne piste. Quand je vis enfin quelques silhouettes se dessiner parmis les arbres , je ralentis. Je me mis derrière un buisson épais , et j'observa. C'était un petit troupeau , principalement composé de jeunes .. surement égarés , ou alors , venant de formé une harde. Je m'approcha avec discrétion , allant de buisson en buisson. Mon regard se posa sur un grand mâle , le plus gros du groupe. Une fois mon choix fait , ma cible choisie , j'attendis le bon moment. Je patienta plusieurs minutes , sans quitter ma proie du regard. Le mâle dominant ne cessait d'observer les environs , je devrais faire vite. J'attendis encore un peu , puis quand il me tourna inconsiament le dos , je bondis de ma cachette et fonça. Avec une vitesse étonnante , je me retrouva sur le dos de l'animal. Le troupeau fut prit de panique. Tous se rentèrent dedans , se qui ne facilitait pas la tache .. Le mâle sur lequel je me trouvais fit quelques acrobaties pour que je lache, et ce ne fut pas une réusite, il fini par me faire tomber et courru rejoindre son troupé déjà bien eloignée ...

Alors que je venais d'effectuer une ronde particulièrement éprouvante, je décidais d'aller me reposer un peu dans la forêt enneigée. J'aimais beaucoup m'y retrouver seul, car cette partie du territoire de mon clan m'apaisait et me ressourcait sans que je ne sâche pourquoi. Je rencontrais une des mes Phalanges alors que je traversais la grotte. S'ensuivit une discussion assez technique sur nos entraînements. Oui, je savais que nous n'étions pas très nombreux, oui je savais que nous ne nous entraînions pas assez. Mais que faire quand on manquait de pattes ? Rien, malheureusement. Il nous fallait attendre...
Je n'aimais pas cette inactivité qui allait en croissant dans ma section. Je me sentais inutile et cela me déplaisait fortement. J'étais désapointé et j'avais besoin de me dépenser. Laissant mon subordonné sur place, je me mis à courir, le plus vite possible en direction de la forêt enneigée. Même au plus fort de l'été elle étincelait de mille feux, c'était un spectacle magnifique. Le silence régnait et chaque bruit résonnait aussi fort que la corne de brume d'un chalutier prêt à larguer les amarres.
En parlant de bruit... Je dressais les oreilles, une course poursuite ? Des oiseaux s'envolèrent en tous sens, poussant des pépiements affolés, et leurs bruissements d'ailes se répercutant au loin. C'est alors qu'un bruit de galopade effrénée me fit tourner la tête. Un chevreuil me fonçait dessus. Sans réfléchir, mes réflexes de loup prenant le dessus sans que je ne m'en aperçoive, je bondissais à la gorge du cervidé qui s'effondra dans un long brâme d'agonie. Il se débattue un moment, et resta immobile au sol. Je venais d'achever une proie ...

Le soleil venait de se lever, le jour était là. Je me lève lentement, je ne devais bouger énormément, mais une petite chasse de petite proie ne devait pas être très compliquer. Et puis garder la forme permet de rester en bonne santé. Je retourna à mon lieu de chasse, ou j'avais déjà attraper plusieurs proies, raté plusieurs et souvent rien trouver ...

Je me mis au sol, essayant de renifler ce qui pourrais m’intéresser ... une proie pas trop grosse, pas trop compliquer, mais qui me permet de bouger un minimum. Cela ne fut pas long, une légère odeur de paille, et d'homme, je ne voyais pas tous de suite ce que cela pouvait être, mais en m’approchant je reconnu la bète. Une poule ! Cette boule qui possède un bruit bien a lui, une façon de picorer, une façon de bouger. Une proie parfaitement pour moi dans mon état. Je resta un moment, laissant la proie se mettre a l'aise, et couru derrière elle, je ne pouvais pas courir énormement du coup, pour éviter une course, je lanca ma patte vers l'avant pour lui bloquer le chemin, de mon autre patte je lui griffa la chair, mais mes griffes était rester accroché ! Je lui morda la tête puis le corps pour arrêter son cri et l'achever.

'Je t'aurais...' Cette phrase résonnait dans la tête de Emarok au rythme de ses foulées larges et amples. Une cinquantaine de mètres devant lui, une fine chevrette courait avec de moins en moins de vivacité. Le loup traqueur avait commencé à pourchasser sa proie dans les terres neutre, et cette dernière l'avait emmené jusqu'ici, près de la cabane du chasseur. L'herbe sèche chatouillait les pattes du grand loup qui aurait voulu pouvoir s'arrêter pour se gratter, mais il aurait perdu sa proie. Comment de temps s'était-il écoulé depuis qu'il avait pris en chasse la jeune biche ? Elle n'en savait rien, il avait complètement perdu la notion du temps et sa fourrure dense et mi-longue même en été était collante de sueur. Mais la fatigue se faisait aussi sentir chez la proie du loup Esobek, qui avait du mal à garder le rythme de course qu'elle avait abordé au début de la poursuite. Pourtant, le loup des sables savait avec sang-froid et calme qu'il aurait le futur repas de lui et de sa meute.

Il s'était à présent bien habitué aux différentes terres de AFF, bien qu'il ne se soit pas encore aventuré partout. Depuis qu'il était arrivé ici, c'est-à-dire depuis à peu près une ou deux lunes, il avait passé tout son temps à explorer le territoire, ainsi que ceux de certaines autres meutes. Ces derniers jours, il avait décidé de chasser à plein temps, estimant qu'il en était temps. C'était ainsi qu'il s'était retrouvé à traquer cette jeune biche qui n'avait pas encore réussi à lui échapper. Celle-ci était à bout de force et s'était arrêtée, épuisée et vaincue. Emarok sourit, certes d'une manière un peu cruelle. Rassemblant le peu de puissance qu'il lui restait, le loup Esobek bondit sur sa proie et l'acheva d'un coup de crocs. Elle n'avait opposé aucune résistance, comme si elle savait que son heure était venue et qu'il n'y avait rien à y faire. Le traqueur, fier de ne pas avoir abandonné, se permit de prendre une ou deux bouchées de viande rouge avant de reprendre son souffle. Restait maintenant à ramener la proie au garde manger, ce qui était une autre affaire...

rien ... je ne trouve plus rien c'est temps-si !

après avoir trouver quelque source saine par ci par là je ne trouve plus rien ...

J'était content d'attraper autant de proies en peu de jour, une fois commencer j'ai du ma a m'arreter. Je souhaite continuer jusqu'a épuisement, j'usqu'a ce que la chasse soit un calvaire. De ce fait, je posa mes proies a côté, sans doute vais-je les ramener d'ici peu de temps, je n'est pas de grosse proies mais il faut bien faire des aller-retour au garde manger pour les ramener.
Je pris mes proies dans ma gueule et marcha lentement, je fut stopper la par le bruit d'un oiseau volant autour de moi. S'il continue je lui mord les ailles ... pensais-je trop fort. Il décide de voler ailleurs, mais reviens à la charge. Je pose mes proies, grognant devant lui, je l'entend voler, et cela me casse les oreilles ... Je lui cours après, bondissant pour lui arracher quelque plume, ou même lui mordre les ailles ... Je n'est reussis qu'a remplir ma gueule de plume, mais ce volatille reussis a s'enfuir ...

J'avais trouver une habitude à la chasse tous les matins, pourquoi ? pour garder la forme, après tous je ne fais rien de mes journée, donc je consacre mes matinées à la chasse de petite proie. Je retourne a mon lieu favoris, près de la cabane du chasseur ou je cherche comme tous les jours, une odeur me permettant de trouver une proie.
Le corps baissé, le museau au sol, frolant la terre, je renifle, tous en continuant d'avancer, pas après pas, pour trouver quelque chose. C'est sur un feuillage, qu'une odeur me vint, le sol n'est pas très himide et l'air pas trop sec. L'odeur qui me vint est un volatille, une poule, une poule d'eau pour être préscis ! J'avance en direction de l'odeur, esperant entendre ses bruits en avancant, il m'a fallut plusieurs pas avant d'entendre le sol craquer. Des branches, son cris, les bruits bien distinct de l'animal.
Je continue, et m'allongea sur le sol, analysant ma proie, je ne comptais pas rester éternellement derrière un buisson a l'attendre. Je bondis donc de ma cachette, et couru en direction de l'animal, celui-ci, m'ayant repérer s'enfuit. Petite course tranquille, jusqu'a ce que je lui fou ma patte sur la tête, je le griffe et le blaque au sol, mais il reussis a s'échapper !