Torka

Torka n'arrivait pas à dormir. Skull hantait sa nuit. Il poussa alors un profond soupir, mais pourquoi luttait-il ? Il s'assit-alors, sans mot. Il avait froid, tandis qu'il s'acharnait sur son sort. Pourquoi lui ? Lui un loup si commun, pourquoi s'acharnait-il sur lui ? Un coup du sort, oui. Toujours là, admirant un tout, un soir aussi banal il tournait sans but. Il pouvait agir, oui, mais pourquoi ? Son choix accomplissait un but, oui, sans quoi il abdiquait tout. Grognant alors, il assignait son intimidation au loup qui s'obstinait. Allait-il avoir toujours un soupirail pour son alpha ? Il pouvait savoir qu'il la haïssait, mais ça, non. Ça passait, tout continuait son action, l'instant qu'il vivait n'y chamboulait pas grand fourbi. Un traintrain anormal pourtant garanti par tous, aussi nonobstant tous. Un troc, il avait foi, il y croyait, il fallait un loup pour ça, lui. Il luttait, son appoint, son obstination, il n'allait pas abolir ça. Conclu il transcrivait alors son corps, pour pouvoir aboutir au camp. Là-bas, il voyait maint loups. L'un s'activait pour l'affût, Skull avait mit un quotas. Un loup noir fixait l'horizon, distrait par l'affliction du panorama. Lui, il n'allait pas agir ainsi. Alors il triturait du soupirail Asak.

Un frisson parcourait son dos. Il avançait sans nonchaloir. Un but, voilà, il avait un but, il tachait alors d'accomplir ça. Il pouvait, il faisait, il agissait. Sortant donc du camp, sans avoir joins Asak il continuait son parcours. L'air frai parcourait alors son poils noir, lui, il n'y sollicitait pas grand "fait". Un bruit, un animal, la faim. Rôdant autour, il fut abasourdit. Pourquoi ? Car l'animal gisait là, mort. Qui ? Qui avait fait ça ? Un loup, un chat ? Il n'y avait pourtant aucuns sillons ici... Il grognait alors, inassouvi, insatisfait. Il n'allait pas partir, alors il continuait, vigilant. Tout paraissait confondu, un vacuum naissait dans son brio au fur accord qu'il cinglait. Il avait commission d'un tout mais il fuyait. Un pas lourd qui trahissait sa privation, il voulait blanchir son illusion... Saisissant qu'il lui lambinait du loisir il hâtait son accord. Au loin il y avait un lac... "Plaît-il" annonçait Torka avant d'y accomplir un tour. Il admirait sans-façon un canton inconnu. Un mot, "filon", il pouvait faillir au hasard. Lui, un loup non disjoint arrivait à saisir l'occasion pour ouvrir un inouï quidam à son prochain.

Plaisait-il ? Absorbant alors un trimard conjoint à la fluctuation, humant l'air qui s'offrait à lui, il tâchait à jaillir au camp. Son abstraction n'avait pas concis distinct loup. Distrait il tâchait donc d'offrir son plus piquant minois. Filant donc dans un coin, il trouvait un tas où il s'installait, pur. Il voyait un loup mouvoir un loupiot pour but d'offrir un lapin. Un fait qui assaisonnait du bon. Soufflant, il bannissait tout, imputation, incrimination... Au courant choc qu'avait subit son logis... Il n'y pouvait grand fait... Assit, il continuait à languir. La continuation d'un tout instituait un acabit contigu à un courbatu. Alors il tournait, allant droit dans un trou, pour pouvoir agir. Affirmant qu'il n'allait pas fuir à un loup, il n'avait pas pu y partir sans avoir pour obligation un loup au trot. Ingrat, voilà un flots qui indiquait son abord à partir du cas opportun. Il avançait toujours, il n'allait pas pourvoir ça pour un loup ardu. Un loup gris, banal. Il n'avait pas gain à ouvrir son goulot, sinon Torka lui sortirait tout son opinion sur lui. Finit, il n'avait plus à subir, il tournait, puis il faufilait son corps au bout d'un coin qu'il avait choisi pour dormir...

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