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Comment une louve aveugle peut-elle survivre dans ce monde de brut et cruel ? C’est bien la question que je me pose pour évoluer. Qu’est ce qui peu compenser le fait de ne pas voir ? Voir c’est important ! On peu voir l’adversaire, la race, le type, la force, ses muscles ! Bref voir c’est la vie … heu non, car ayant perdu la vue, cela signifierais que j’ai perdu a la vie. Or c’est faux je suis encore vivante. Il fallait que je compense ce défaut, et pour çà il fallait que je m’entraîne. Je m’étais levé à l’aurore ce matin, comment je le sais ? Et bien tout le monde dors encore, et j’ai entendu le premier bruit d’un oiseau. Enfin, peu être qu’il fait encore nuit, je pas vous le dire, mais je n’entends pas les chouettes.  Je décidai de me promener un peu … premier exercice, reconnaître tous ce qu’il y autour de moi. Je me dirigeai vers l’épave d’avion. Essayant de reconnaitre tous ce qui m’entour. Mes pattes légers et silencieux, s’enfonçant dans la terre … il n’avait pas plut depuis un moment, la terre était sèche, plus sèche que d’habitude … j’entendais le vent soufflé, les arbres se laissant emporter par le vent … un branche qui crack et qui tombe. Le bruit de la branche qui tombe sur le sol, laissant s’éparpiller quelque grains de sable. Un battement d’ailes, un oiseau ? Quel genre d’oiseau ? J’ai entendu un bruit de branche, c’est-il posé sur un arbre ? Puis un hululement sorti de sa bouche. Un hibou vu son cri. Est-il en train de me fixer ? De me regarder ? Je ne sais pas, j’entends uniquement le bruit de ses ailes, son bec en train de gratter ses ailes. Le bruit de la branche sous son poids.

Les arbres qui grésillent avec les buissons sous l’effet du vent. Les légers bruits d’oiseaux commençant à pendre leurs envoles du matin. Les chants des oiseaux, et leurs battements d’ailles.  Ils étaient nombreux, Au vu du nombre de battement d’aile, je dirais une dizaine ? je n’en suis pas sur, et personne n’est là pour vérifier. Je continuai à faire quel que pas, même en essayant d’être silencieuse, je sentis la terre, le bruit de la terre sous mes pattes, la terre sèche qui craquait. Le vent sur mon pelage. Je finis par arriver près de l’épave d’avion. Je le sais car j’entends le bruit de la coque métallique sur le vent, un petit bruit aigu, différent des être vivant. Je m’en rapprochai, collant mon pelage contre lui, me frottant au métal qui soutenait l’avion. L’odeur du cuivre et du métal, l’odeur était très fin, c’était compliqué de le distingué. Mais l’odeur la puis puissante est celle de la décomposition de l’avion, la coque qui pourrissait, enfin peut-on appeler sa pourrir ? Je pense que l’eau et le vent détériore le métal, donnant cette aspect plus fragile. Je ne voyais pas à quoi cela ressemblait, mais je sentais l’odeur, une odeur presque comme celle du sang, mais en plus acide. Au toucher cela ressembla a de la poussière, pourtant l’acier c’est dur et froid, et pourtant on trouvait a certain endroits du métal poussiéreux.

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J'avais améliorer mon ouie et mon odorat, mais il en faut plus pour être guerrière chez les Sekmet. Si tu souhaite avoir un meilleurs grade, il faut être capable de te faire respecter, qu'on baisse la tête en te voyant, même si tu ne les vois pas. Te faire voir par les supérieur. Il te faut tous çà pour monter en grade, ce n'est pas une chose facile. Pour le faire il te faut de la force, de l'endurance et de l'agilité. En avant ma belle tu va y arriver.

En face de moi, l'avion, enfin ce qui en reste de l'avion, une épave. Des morceaux d'avion éparpiller sur notre territoires. Ce métal est résistant, voyons si on peu le percer avec nos griffes. Je sortis les griffes, grognant un peu, et donnant des coups encore et encore a ce métal. Je ne laissait que les marques des griffes. Sa permettait des aiguisées. Je griffa, encore et encore, jusqu’à ce que la trace de griffes ne soit plus reconnaissable. Plus je griffant, plus un bruit sourd sortait. Un bruit strident ! encore ! Ce bruit me fessait mal, mais j'avais envie de percer ce métal. Si j'arrive a le percer, je pourrais faire bien plus mal avec mes griffes. A force de frapper, encore et encore, je sentis au touché des traces profondes, mais pas encore assez ... le métal n'étais pas encore percé. Alors tu continue. Je commença a avoir mal a dent, le bruit qui sortais du contact entre le métal et mes griffes était désagréable, mais ma motivation était plus forte. Je grognait en même temps que je griffait, jusqu’à arriver a mon but. un trou était percé dans ce métal puissant des hommes. J'avais mis trop de temps a le percer, mais c'est normal.

Je recula de quelque pas. Griffant le sol avec mes griffes acéré. Je souris, j'étais fière, contente. Il fallait maintenant tester ces griffes. Je me dirigea vers une odeurs, un arbres. Le tronc n'étais pas très gros, ni épais, mais suffisait a tester mes griffes. Les crocs sorties, les griffes prêtes... Je laissa mes traces de griffes sur la terres sèche, avant de bondir sur le tronc d'arbre. Laissant des marques de griffes assez profonde. Je recula ... puis m’approcha pour sentir au toucher a quel point j'avais griffer ce tronc. Suffisant ... pour moi, pour un début. Je recula encore, de plusieurs pas. Monter au arbres ? non tu me pend pour qui, je suis pas un singe. Mais bondir sa oui. Je pris peu d'élan, et bondi sur l'arbre, sortant les griffes. Je laissa mes marques a chaque bons. De plus en plus haut, de plus en plus profonds. Je pris beaucoup d’élan, puis peu après. A force de prendre l'arbre comme ... entraîneur ? nan même pas, c'est plus une victime, la victime d'un entraînement. L'arbre laissé s’échapper de la sève, le sang de l'arbre. Le pauvre ... Mais cela ne me fis pas arrêter. Je continua de bondir, de griffer, jusqu’à ce que je trouve un résultat satisfaisant.

Je ramassa avec mes crocs les bouts de branche tombé de l'arbre. Coupant la branche en deux avec mes crocs, et rognant celle-ci. Je chercha des branches plus épaisse, plus grosses. Et continua cette-fois avec mes crocs. Les planta au milieu de la branche, tenant celle-ci avec mes pattes au sol. La branche était plutôt épaisse ... Il était difficile d'y installer mes crocs sans que celle-ci ne se débatte ... enfin ne bouge, car une branche ce n'est pas vivant. Si elle était vivante je l'aurais tué des centaine de fois. Imaginez vous de arbres vivants, vous parlant ... se serais vraiment étrange. Bref, attrapant la branche avec mes pattes, et enfonçant mes crocs dans celle-ci, coupant le branche en deux. Me laissant des bouts de bois dans la bouche, je cracha au sol pour les éjecter.

Je fis un petit tas des branches cassés, ou coupé en deux, ne pouvant pas les réutiliser. Fatigué, je décida de me poser sous l'arbre a côté des branches. Comme si je m’excusais a l'arbre de lui avoir fait du mal. C'est un être vivant après tous. Mais sa l'entraîne lui aussi, a ne pas laisser tombé des branche aussi facilement, a crée un troncs plus épais ! héhé ! Je me reposa, avant de reprendre un entraînement. fermant les yeux, sans perdre ma garde, il peu toujours se passer quelque chose. Après, mon ouïe est assez développée pour remarquer un bruit suspect même en fermant les yeux, ou en essayant de me reposer. Mon odorat aussi, une odeur de loup solitaire ou ennemie le réveillera sur le champ.

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Le silence, à peine troublé par les cris des oiseaux, surtout ceux de vautours et autres charognards, et par le sifflement du vent. Il envellope la terre telle un manteau de burme, étouffant les sons et se perdant dans l'immensité de la plaine. Sous le ciel d'un bleu-gris saissisant, à peine voilés par des nuages grisonnants, se tient une forme étincelante. Les rayons du soleil, plutôt pâles, viennent faire briller ma fourure. Une fourure tricolore de ce que je me souviennent, des nuances de marrons, de noir et de beige. Un pelage vraiment magnifique... Bien fournie, elle ne l'est cependant pas trop. Suffisante pour protéger des rigueurs du Nord, mais assez légère pour ne pas gêner dans le Sud. Son défaut principal, qui se mêle étroitement à sa beauté, c'est sa visibilité. Impossible de passer inaperçue avec une fourrure pareille. Elle fait un peu tache au milieu de la terre engluée d'eau. Un peu comme une perle de nacre et d'argent au milieu de petites billes d'obsidienne poussiéreuses, d'un noir terne.

Le silence, à peine troublé par les sifflement du vent. Le silence après la pluie, où la terre engluée d'eau commence à absorber cette dernière et où les végétaux reluisent, des fines perles d'eau gouttant de leurs feuilles. L'odeur de la pluie, de l'herbe mouillée.
J'avais pris comme conviction pour la journée de m'entraîner sur l'endurance. Un défaut qui est assez dur d'endurcir. Pour améliorer cette endurance, une course etait le meilleurs moyen. Je décida de courir au milieu de la boue, des flaques d'eau et des endroits épargnés par la pluie. De temps en temps, mes pattes agiles s'enfoncent dans la terre ou font jaillir des gerbes d'eau. D'une légèreté extrême, je courrais si vite pour ne pas trop m'embourber les pattes. Après, c'est un véritable calvaire pour se les nettoyer... et je préfère largement m'entraîner plutôt que de jouer les louves coquettes. Mes coussinets frôlent à peine la terre, juste de quoi lui donner une bonne impulsion. Je glissa sans fin sur la plaine près de l'épave de l'avion comme une fantôme furtif. Je vole, presque... Même si je sait que ce n'est qu'une illusion. Je continuais de courir sans but précis que d'améliorer l'endurance. Le vent qui se cogne contre ma tête lorsque mes pat s'accélère. Je ne vois pas le paysage, mais je sens l'air du paysage me venir au visage ... de l'herbe fraichement humide, l'odeur des arbres et de la seiche, je pouvais imaginer ce qui se trouve autour de moi sans le regarder. Au bruit, lorsque je passe près d'un bruissons ou d'un arbre, j’entends les oiseaux battant des ailes, essayant de s'enfuir. Pourtant je ne veut aucun mal, mais me voir arriver aussi vite les fait fuir.

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Un hurlement brisa brutalement le silence qui régnait sur la forêt de la perdition. Je soupirais de frustration. Cet hurlement avait fait vaciller ma concentration, mais je n'avais pas bougé d'un poil. Malheureusement, l'oiseau que je convoitais, lui, n'avait strictement aucun sang-froid ni aucune maîtrise de lui et, du coup, il s'envola. Saleté de bestiole. En plus, je suis sûre qu'il n'est même pas commestible. Je voulais l'attraper pour le vérifier, justement. Il ne m'aurait pas été difficile de trouver un imbécile à qui le faire avaler. Et s'il ne tombait pas malade, alors c'est que ce piaf était comestible. Je ne suis pas immensément curieuse mais j'aime bien faire des expériences. A force de répéter tout le temps les mêmes comportements et réactions, cela devient franchement lassant, il faut bien trouver de nouvelles choses de temps en temps... Et si ce piaf secrétait un poison mortel, cela aurait été amusant de mettre en douce des morceaux de sa chair dans les réserves des Angels, puis les écouter agoniser avec délice... Enfin, bref. Pour le moment j'ai autre chose à faire, moi.

Je filais sans bruit vers les terres d'entraînements, plus silencieuse qu'une ombre. Ma course n'était que puissance et fluidité, et mes muscles me propulsaient en avant sans effort, tandis que mes articulations et mes ligaments réglaient le tout avec souplesse, amortissant le contact avec le sol à chaque foulée. Ma terre n'était autre que l'épave de l'avion. Que faut-il de plus qu'une chose crée par l'homme, si nous la détruisons nous pouvons nous mesurer a ses êtres a deux pattes qui nous chasse comme du bétail.

Aujourd'hui je souhait améliorer un peu mon endurance et mon agilité. Pour l'endurance, un peu de course lente et rapide, jusqu'au l’épuisement serais parfait. Pour l'agilité, il suffit de me voir ... moi une aveugle essayant d'éviter des danger, des obstacle tel que des arbres, des pierres , ou simplement des trous. Cela fait longtemps que je parcours cette terre, et m'y entraîne, je connais tous ce dont cette terre me proposes. Je bailla un instand ! fixant devant moi la terre qui m'aidera.

Je commença donc mon entraînement, j’avançai, pas à pas, doucement, sans courir, sentant sous mes pied les petites pierres et la terre boueuse ... j'étais sur le point de prendre mon élan, et de bondir ... ce que je fis. Laissant des traces derrière moi, sur mon passage. Courant à petite allure. Mais je m'arrêta nette devant un arbre. Une douleur atroce dans ma tête. Mais elle pardis en quelque seconde, je ne comprenait pas ... je fis un pas, et ne me rendis pas compte de l'arbre. Me le prenait de plein fouet ... qu'est ce que je fou là, c'est pas sérieux. Je repris un rythme léger, avançant entre les trous et les grosses pierres. J'entendais un bruit de pas, je me stoppa encore une fois, tourna la tête derrière moi ... rien. Je repris une course, évitant des arbres, mais les pas derrière moi s’accélère ... qu'elle qu'un me suis ? qui est-ce ? son odeur est répugnante, une odeur de ... de soufre, de brulé une odeur de cuivre comme l'épave, une odeur de sang. J'accelera mes pas pour fuir cette chose qui me suis. J'avancais de plus en plus vite, mais a force d'être déranger par ses pas et cette odeur je finis par me prendre un arbre. Me couchant de douleurs, je resta là sans bouger. Les bruits avait disparu. Est-ce moi qui suis dingue ? je ne vois rien ! vous essayer de me jouer des tours ou vous me suivez ?

Essouflé, j'attendais ... non il n'y a vraiment personne. Je me leva doucement, puis resta encore un instant sans bouger. Toujours rien, les pas ont disparu, sans doute des gamins qui joue et je les ai juste entendu. Je repris une course, évitant des obstacles, je pouvais entendre les bruits des arbres et du vent. Les pas ce sont arrêter, c'était juste mon imagination. Mais cela ne s’arrêtait pas là. Je me concentre énormément sur mon odorat et ou ouie pour me diriger. Si un des deux, ou les deux me lâche je suis foutu. Un bruit de grincement, un bruit aigu me vint au oreilles, je glissa sur le sol boueux, et tomba au sol. Me tortant de douleurs. Essayant d'arrêter d'écouter .. mes les douleurs restait, s'éloignait un peu. J'entendais mal, le bruit aigu restais dans mes oreilles. Cela ne peu pas continuer ainsi.


Je voulais terminé cette entraînement, mais tous allait mal, des pas, un bruit aigu, je n'arrivais plus a m'orienter. Je décida de terminer rapidement mon entraînement. Je continua de courir, le bruit sourd et aigu dans les oreilles, me prenant defois des pierres dans les pattes, et frollant de près des arbres, me laissant des égratignures.
Je fini par m'écrouler au sol .. fatigué, sans énergie. Ma respiration s'accelerais, j'étais fatigué de courir. Je me coucha sous un arbre, cette journée n'était vraiment pas terrible. Décidé de me reposer, histoire de soignée mon imagination. Fermant les yeux un instand.

*** Hallucinations ***
Un loup ... de pelage tricolore, marchant en face de moi, je suis assoupis, sans doute en train de rêver. Je l'entend s'approcher de moi ... comment sais-je de quelle couleur est son pelage, je ne sais pas, je vois des ombres, qui permet de distinguer le loup. L'odeur qui me vint était horrible ... une odeur de sang, de décomposition, de pourriture. Est-il blessé ? mourant ? Il me parle ... non il murmure des choses, mais il est trop long pour l'entendre. Il crie, gémis. Que lui arrive t'il ? je fais de drôle de rêve. Il continue de s'avancer jusqu’à ce que je l'entend réellement. Une respiration courte, des pas, les oiseau s’envole. Je ne rêve pas ! il est là ! je ne suis pas en train de dormir il est là ! Je me leva brusquement, je ne peu pas rester ici, je rentre me reposer en sécurité, j’avance en direction opposé de ce loup. Mais je l'entend encore, il me suis, ses pas, sa respiration, son odeur. Je ne veut pas ! il ne dois pas me suivre. Je me retourna net, bondis pour essayer de l'attraper ... mais je finis au sol. Griffant le sol de mes griffes, il n'est plus là ... ou est-il ? mes poiles se hérissait, ma respiration était rapide. J'étais fatigué de mon entraînement, je ne pouvais pas endurer un combat ou une course, ou même une fuite. Je me retourna, reprenant mes pas pour retourner à la grotte.

*** FIN ***

Il ne me suis plus, j'étais en sueur ... le bruit sourd de mes oreilles persiste, fatigué, je dois être fatigué, trop fatigué. J'avais chaud. Je pris un pas plus rapide, plus vite je retournerais à la grotte, mieux se sera. Une bonne nuit de sommeil et tous s'arrangera. Je l'espère, je l'espère vraiment. Je ne voulais pas l'admettre, mais mon corps lui l'était. J'avais peur. Terrifier, que me voulait ce loup ?